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Critique de Arthur409
Les Etats-Unis sont la cible d'une succession de cyber-attaques, dans différents domaines : stabiilté du cours du dollar, marchés immobiliers, sécurité des centrales nucléaires, fiabilité du réseau énergétique… Garrett Reilly, un jeune trader new-yorkais, cynique et désabusé vis-à-vis de la société américaine, a deviné que ces attaques sont pilotées par la Chine, et son premier réflexe est de les utiliser en spéculant contre le dollar pour s'enrichir.
Par suite d'un concours de circonstances, il est repéré par l'armée américaine qui veut mettre à profit sa capacité à détecter les logiques cachées, capacité qu'il n'utilisait jusqu'alors que pour flairer les bons coups boursiers.
Mais Reilly n'a pas la fibre militaire ni l'étoffe d'un patriote, loin s'en faut : son idéal est très individualiste, et son goût pour l'action s'exerce surtout lors des bagarres dans les bars dont il est friand… Considéré comme asocial par les militaires, voire franchement comme « un sale petit con », il accepte à contre-coeur la mission de découvrir le pourquoi de l'attaque chinoise, et de la neutraliser.
La quatrième de couverture fait allusion à Homeland et à 24 heures chrono, et on se retrouve bien dans l'ambiance de ces séries dans lesquelles le héros lutte non seulement contre un ennemi extérieur, mais aussi contre son propre camp, avec d'affreux membres des services secrets à ses trousses.
Reilly mobilise toutes ses ressources et quelques rares amis qui croient en lui pour tenter avec une batterie d'ordinateurs et son sens particulier de la logique (par exemple en utilisant des jeux vidéos) de réussir à tout prix une mission qui le rebute, mais dont dépend sa vie entière.
On est dans l'action d'un bout à l'autre du roman, les chapitres sont brefs (maximum d'une petite dizaine de pages, le plus souvent trois ou quatre), l'intérêt ne retombe jamais. Une histoire sentimentale vient apporter un peu d'épaisseur psychologique, mais on est quand même typiquement dans le roman d'action.
Sans grande originalité, ce roman se lit facilement sur la plage, en vacances ou dans le métro.
Les dernières pages semblent présager que cette aventure de Reilly ne restera pas isolée, il est donc probable que nous assistons à la naissance d'un nouveau héros récurrent !
Par suite d'un concours de circonstances, il est repéré par l'armée américaine qui veut mettre à profit sa capacité à détecter les logiques cachées, capacité qu'il n'utilisait jusqu'alors que pour flairer les bons coups boursiers.
Mais Reilly n'a pas la fibre militaire ni l'étoffe d'un patriote, loin s'en faut : son idéal est très individualiste, et son goût pour l'action s'exerce surtout lors des bagarres dans les bars dont il est friand… Considéré comme asocial par les militaires, voire franchement comme « un sale petit con », il accepte à contre-coeur la mission de découvrir le pourquoi de l'attaque chinoise, et de la neutraliser.
La quatrième de couverture fait allusion à Homeland et à 24 heures chrono, et on se retrouve bien dans l'ambiance de ces séries dans lesquelles le héros lutte non seulement contre un ennemi extérieur, mais aussi contre son propre camp, avec d'affreux membres des services secrets à ses trousses.
Reilly mobilise toutes ses ressources et quelques rares amis qui croient en lui pour tenter avec une batterie d'ordinateurs et son sens particulier de la logique (par exemple en utilisant des jeux vidéos) de réussir à tout prix une mission qui le rebute, mais dont dépend sa vie entière.
On est dans l'action d'un bout à l'autre du roman, les chapitres sont brefs (maximum d'une petite dizaine de pages, le plus souvent trois ou quatre), l'intérêt ne retombe jamais. Une histoire sentimentale vient apporter un peu d'épaisseur psychologique, mais on est quand même typiquement dans le roman d'action.
Sans grande originalité, ce roman se lit facilement sur la plage, en vacances ou dans le métro.
Les dernières pages semblent présager que cette aventure de Reilly ne restera pas isolée, il est donc probable que nous assistons à la naissance d'un nouveau héros récurrent !
