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Critique de Villebard


Au début cela m'a intéressé, sans doute à cause des origines russes de la donzelle, mais cela devient vite “Point de vue et images du mondeˮ. Les histoires psycho et nombrilistiques des bourges et autres têtes princières me passionnent plus que modérément, supportables chez le dentiste ou le coiffeur. Ils peuvent se soigner en allant bosser à l'usine, comme les aristos chez Citroën ou devenir chauffeurs de taxi, après le coup d'état bolchévique. Saluons toutefois, l'immense travail de documentation de l'auteur et sa belle écriture, à n'en pas douter. Quant à la pintade qui va se convertir à l'islam, la réponse est dans la question. La voyageuse finira noyée dans un oued taquin. Mais que fait Allah ? Quel ingrat celui-là, à quoi bon se décarcasser et se débrancher le cerveau devant une telle ingratitude funeste. Qui sème le vent récolte l'inondation dit le proverbe berbère.
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