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Critique de Heutrion
Une petite histoire dans la grande, basée sur un procès verbal décrivant la mort d'un jeune homme près de Dieulouard en Meurthe et Moselle.
La directrice de la collection hors temps des éditions Ex Aequo m'avait prévenu : Nivôse an X est un Objet Littéraire Non Identifié(olni). L'auteur le qualifie de "biofiction" puisqu'il ne dispose que de quelques documents historiques pour retracer les dernières heures de la vie de son héros. En cela, Olivier Chartier s'approche d'un forme historique de médecine légale chargée, elle ,de comprendre les dernières minutes de la vie d'une victime par des méthodes scientifiques, mais aussi du talent d'un Sherlock Hommes qui peut deviner votre passé et présent dans de menus détails.
L'écriture est remarquable, le vocabulaire riche, les tournures de phrases modernes et originales. L'ouvrage se termine par les reproductions de paysages et bâtiments de l'an 1801 (an X) et le procès-verbal lui-même.
Je reste en admiration devant l'originalité de l'opus qui va rester dans ma bibliothèque à côté des "autopsies des morts célèbres" de Philippe Charlier ou du "sceau de la mort" d'Alain Germain.
La directrice de la collection hors temps des éditions Ex Aequo m'avait prévenu : Nivôse an X est un Objet Littéraire Non Identifié(olni). L'auteur le qualifie de "biofiction" puisqu'il ne dispose que de quelques documents historiques pour retracer les dernières heures de la vie de son héros. En cela, Olivier Chartier s'approche d'un forme historique de médecine légale chargée, elle ,de comprendre les dernières minutes de la vie d'une victime par des méthodes scientifiques, mais aussi du talent d'un Sherlock Hommes qui peut deviner votre passé et présent dans de menus détails.
L'écriture est remarquable, le vocabulaire riche, les tournures de phrases modernes et originales. L'ouvrage se termine par les reproductions de paysages et bâtiments de l'an 1801 (an X) et le procès-verbal lui-même.
Je reste en admiration devant l'originalité de l'opus qui va rester dans ma bibliothèque à côté des "autopsies des morts célèbres" de Philippe Charlier ou du "sceau de la mort" d'Alain Germain.
