On a même suggérer que la capsule Apollo 13, qui n'a pas pu se poser sur la Lune transportait à son bord un détonateur atomique destiner à exploser sur la Lune afin de mesurer son infrastructure ......L'explosion qui se produisit dans un de ses réservoirs ....aurait alors été provoqué par une soucoupe volante ....Afin de l'empêcher de détruire une base lunaire de cette civilisation .extraterrestre sur la Lune. Mais on raconte tellement de chose.
Les cercles concentriques de ces arbres sont plus ou moins larges, suivant qu’il a fait plus ou moins chaud, ou plus ou moins humide cette année-là, de sorte que l’on peut déterminer non seulement l’âge de l’arbre, mais encore le temps qu’il a fait au cours de son existence. Il paraît même que l’on peut y retrouver le cycle de onze ans de l’activité solaire, dont dépend le temps sur la Terre. À l’aide de cette nouvelle méthode de datation, appelée la dendrochronologie, on a réussi à établir des tables de correction pour les dates obtenues avec le carbone radioactif, mais elles n’existaient pas encore à l’époque de la controverse du calendrier des Mayas, et les archéologues n'étaient pas plus fixés après le test qu'avant.
Depuis des milliers d’années, les astrologues et les mathématiciens, impressionnés par la majesté et la régularité du mouvement des astres, avaient essayé de découvrir le secret de cette merveilleuse horloge. Ils avaient compris qu’il devait exister une très longue période de temps, sans doute plusieurs millions d'années, qui représenterait un nombre exact de révolutions de chacun des astres connus, et à la fin de laquelle ces astres se retrouveraient tous ensemble à leur point de départ commun sur l’autoroute du ciel qu’est la bande zodiacale.
Ils ne savaient pas que cette période imaginaire, qu’ils avaient appelée la grande année, ou la grande constante, avait déjà été calculée des dizaines de milliers d'années auparavant, et qu’elle avait peu à peu sombré dans l’oubli, à la suite des guerres et des cataclysmes naturels qui ravagent périodiquement les civilisations humaines. Cette constante, que les astrologues avaient renoncé depuis longtemps à essayer de découvrir, on vient seulement de la retrouver récemment, et par le plus grand des hasards, sur une tablette d’argile gravée de signes cunéiformes.