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Critique de Mamzellegazelle


*** La Comédie Divine***


Quand on décide de se plonger dans du Maxime Chattam, il faut être bien dans sa tête et dans ses baskets, parce que l'auteur ne prend pas de gants (comme ses médecins légistes) pour vous plonger dans ce que la nature humaine a de plus glauque ...

Ce premier opus de la saga La trilogie du mal, s'inscrit dans la continuité des cours de criminologie que l'auteur suivait à la fin des années 90' afin d'expliquer aux lecteurs de ses romans, les techniques scientifiques relatives aux enquêtes criminelles avec la spécialisation d'être un "Profiler". Maxime Chattam nous plonge donc dans de véritables cours ce qui fait de ce roman, un document technique très intéressant et ainsi un roman qui tient la route.

Très bon roman noir, mêlant une enquête très bien ficelée , de la magie noire et de l'ésotérisme, sans rentrer dans le gore et le vulgaire.

Premier opus donc.
On fait connaissance avec un jeune flic, un profiler, Joshua Brolin, et son équipe de choc.

A Portland, un tueur en série s'attaque à des femmes ayant le même profil : jeunes et jolies. A chaque fois il prélève soigneusement un membre et laisse un mystérieux signe sur le front des victimes, qu'il efface à l'acide ..
Lorsque, Joshua, le trouve enfin et lui éclate la tête, la police se dit que tout est enfin terminé : le bourreau de Portland à rejoint l'enfer !
Mais un an après, jour pour jour, une autre victime est retrouvée : mêmes principes, mêmes signatures ... et quand les flics décident d'ouvrir la tombe du bourreau et que celle-ci est vide, Joshua est bien décidé à participer à la course contre la montre ...


L'histoire est captivante, l'enquête l'est également grâce aux explications des techniques scientifiques utilisées.

Bref ! Quel talent de rédactions et de recherches !

Afin de retrouver Joshua Brolin, qui, à la fin du premier opus se cherche et se pose beaucoup de questions sur son boulot, il faut continuer avec l'opus deux : In Tenebris.
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