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Critique de Juin
Fins de journées c'est un recueil de 2 longues nouvelles.
Fin de journées ou fin de vie.... Ces histoires ne sont pas marquées par l'optimisme. Dans "l'absence" un vieux couple est séparé par la dégénérescence. L'homme se retrouve seul et ses visites à sa femme sont toujours une épreuve pour lui. Décrit avec une minutie désespérante nous accompagnons cet homme dans sa détresse.
"La possession" raconte la dépression d'un homme qui se trouve hospitalisé dans une étonnante structure.
Des gens du quotidien dont la vie a pris un jour un virage fatal.
J'aime beaucoup l'écriture de Jacques Chauviré, décédé en 2005, un écrivain discret et assez méconnu mais "poussé" par camus vers l'édition. Cet auteur était avant tout un médecin , de campagne. Un grand humaniste sans doute, généreux, pudique, bon. Ses romans sont à découvrir.
Fin de journées ou fin de vie.... Ces histoires ne sont pas marquées par l'optimisme. Dans "l'absence" un vieux couple est séparé par la dégénérescence. L'homme se retrouve seul et ses visites à sa femme sont toujours une épreuve pour lui. Décrit avec une minutie désespérante nous accompagnons cet homme dans sa détresse.
"La possession" raconte la dépression d'un homme qui se trouve hospitalisé dans une étonnante structure.
Des gens du quotidien dont la vie a pris un jour un virage fatal.
J'aime beaucoup l'écriture de Jacques Chauviré, décédé en 2005, un écrivain discret et assez méconnu mais "poussé" par camus vers l'édition. Cet auteur était avant tout un médecin , de campagne. Un grand humaniste sans doute, généreux, pudique, bon. Ses romans sont à découvrir.
