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Critique de emysign
A première vue, ce roman traite d'une histoire d'amour où deux jeunes personnes tombent sous le charme de leurs avatars avant de se découvrir voisin de classe ensuite.
Le ton est léger, le style employé est très simple, la lecture très rapide.
Soudain, l'histoire prend une autre tournure. L'ambiance devient de plus en plus pesante, la psychologie du héros est découverte au fur et à mesure. L'amour juvénile passe alors au second plan pour laisser place à la perte de repères d'un adolescent déséquilibré, en mal de vivre et recherchant le bonheur dans un univers factice. Réel et virtuel se confondent, et l'échappatoire qu'il s'est construit pour échapper à un réel trop sombre devient alors une prison dans laquelle il sera contraint de vivre à vie.
Le ton est léger, le style employé est très simple, la lecture très rapide.
Soudain, l'histoire prend une autre tournure. L'ambiance devient de plus en plus pesante, la psychologie du héros est découverte au fur et à mesure. L'amour juvénile passe alors au second plan pour laisser place à la perte de repères d'un adolescent déséquilibré, en mal de vivre et recherchant le bonheur dans un univers factice. Réel et virtuel se confondent, et l'échappatoire qu'il s'est construit pour échapper à un réel trop sombre devient alors une prison dans laquelle il sera contraint de vivre à vie.
