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Critique de DocteurVeggie
Ah, la pension Vanilos ! C'est le deuxième roman d'Agatha Christie que je préfère après La nuit qui ne finit pas. Nous voilà dans un décor bien différent des dix petits nègres qui est basé sur une ile abandonnée et de la nuit qui ne finit pas qui se passe dans un village reculé. Nous voici, ici, dans une banlieue ce qui montre qu'Agatha Christie a toutefois une large palette de décors à nous proposer.
Une pension de famille comme on en trouve un peu partout, des citoyens du monde de différentes nationalités y vivent dans cette pension où la cohabitation n'est pas toujours des plus joyeuses, menus larcins, vols tout y passe dans cette pension. Ce qui est fort bien saugrenu car qui aurait l'idée de voler un bâton de rouge et autres babioles ? M'enfin de là à voler de l'acide borique, quelle idée ! Tout y passe même la mort qui souhaite louer une chambre et quoi de mieux que de se débarrasser de quelques locataires au passage pour y prendre ses aises.
S'il s'agit d'un de ses romans que j'ai le plus apprécié, c'est bien à cause de cette pension où différentes nationalités y vivent, contrairement aux autres romans ou on sent une ambiance feutrée, ici point de cela, on y vit dans un parfait tohu-bohu ou chacun rentre et sort comme dans un moulin, ce qui peut déconcerter les lecteurs. Et on peut y entrer tellement comme dans un moulin qu'inexorablement le nombre de locataire diminue si bien que les petites cellules grises d'Hercule Poirot tournent à plein régime jusqu'à l'acte final qui nous révélera plein de surprises.
Un point positif dans ce roman est la description faite de Miss Lemon qui en bon personnage tertiaire (pour moi) est décrite avec plus de détails ; dans le roman, elle fait des trois fautes alors qu'elle n'en fait jamais et aussi nous apprenons qu'elle a une soeur. J'ai trouvé cela amusant surtout que Miss Lemon me fait penser à un citronnier qui pousse dans un pot et que l'on oublie dans un coin.
C'est un bouquin que je peux conseiller à qui souhaite aller vivre dans une pension de famille, on ne sait jamais, cela peut toujours servir.
Une pension de famille comme on en trouve un peu partout, des citoyens du monde de différentes nationalités y vivent dans cette pension où la cohabitation n'est pas toujours des plus joyeuses, menus larcins, vols tout y passe dans cette pension. Ce qui est fort bien saugrenu car qui aurait l'idée de voler un bâton de rouge et autres babioles ? M'enfin de là à voler de l'acide borique, quelle idée ! Tout y passe même la mort qui souhaite louer une chambre et quoi de mieux que de se débarrasser de quelques locataires au passage pour y prendre ses aises.
S'il s'agit d'un de ses romans que j'ai le plus apprécié, c'est bien à cause de cette pension où différentes nationalités y vivent, contrairement aux autres romans ou on sent une ambiance feutrée, ici point de cela, on y vit dans un parfait tohu-bohu ou chacun rentre et sort comme dans un moulin, ce qui peut déconcerter les lecteurs. Et on peut y entrer tellement comme dans un moulin qu'inexorablement le nombre de locataire diminue si bien que les petites cellules grises d'Hercule Poirot tournent à plein régime jusqu'à l'acte final qui nous révélera plein de surprises.
Un point positif dans ce roman est la description faite de Miss Lemon qui en bon personnage tertiaire (pour moi) est décrite avec plus de détails ; dans le roman, elle fait des trois fautes alors qu'elle n'en fait jamais et aussi nous apprenons qu'elle a une soeur. J'ai trouvé cela amusant surtout que Miss Lemon me fait penser à un citronnier qui pousse dans un pot et que l'on oublie dans un coin.
C'est un bouquin que je peux conseiller à qui souhaite aller vivre dans une pension de famille, on ne sait jamais, cela peut toujours servir.
