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Critique de gonewiththegreen


La guerre 39/45 vient de s'achever avec son cortège de morts. Laissant abandonnés des milliers d'enfants orphelins, certains sont recueillis dans des orphelinats. Comme Lem , dont l'oncle et la tante ne veulent pas, et qui se retrouve sous la tutelle d'un orphelinat faisant plus que régner l'ordre dans une Yougosalvie en proie au changement. Toutefois , il y rencontre le fils de Keïten et va se lier d'amitié avec lui.
Ce livre dans lequel j'ai eu du mal à me plonger, fait une belle part au rêve , symbolisé par "la grande eau", promesse de liberté au milieu d'un espace protégé du monde par de hauts murs.
les jeunes sont touchants , épris d'une liberté qu'ils n'ont pas, à la recherche d'une affection parentale qu'ils n'ont pas , essayant de s'évader de l'autorité qui les oppressent continuellement , entre délation, privation et admonestation physique.
Ce livre est sans doute très beau,n cette plongée dans l'imaginaire d'un orphelin oppressé qui s'évade de sa prison par des paraboles poétiques. Par la recherche de cette montagne imaginaire source de liberté.
Je suis sans doute passé à côté.
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