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Critique de bdelhausse
On peut considérer ce troisième tome comme le dernier, vu qu'il est sorti en 2011.
Paradoxalement, c'est le meilleur des 3... La raison en est qu'il tourne autour d'Abruto... le porte-flingue de Don Calimerone... et qu'il faut bien reconnaître qu'Abruto est abruti...
On a une rhétorique qui tourne autour des interactions entre Don Calimerone (avec d'autres comparses) et Abruto. Un peu comme dans Léonard le Génie avec son disciple.
Et cela fonctionne plutôt bien. Et surtout dans la longueur. L'auteur débute de nouveau avec quelques gags (assez plats) en 2-3 pages, puis déroule une histoire sur Don Calimerone et Abruto essayant de libérer un autre Don prisonnier et transporté en fourgon blindé. On finit par anticiper les bêtises d'Abruto et on n'est, en général, pas déçu.
Enfin, le choix des années 50 se révèle souvent judicieux, et l'auteur se montre brillant dans les accessoires et les décors.
Paradoxalement, c'est le meilleur des 3... La raison en est qu'il tourne autour d'Abruto... le porte-flingue de Don Calimerone... et qu'il faut bien reconnaître qu'Abruto est abruti...
On a une rhétorique qui tourne autour des interactions entre Don Calimerone (avec d'autres comparses) et Abruto. Un peu comme dans Léonard le Génie avec son disciple.
Et cela fonctionne plutôt bien. Et surtout dans la longueur. L'auteur débute de nouveau avec quelques gags (assez plats) en 2-3 pages, puis déroule une histoire sur Don Calimerone et Abruto essayant de libérer un autre Don prisonnier et transporté en fourgon blindé. On finit par anticiper les bêtises d'Abruto et on n'est, en général, pas déçu.
Enfin, le choix des années 50 se révèle souvent judicieux, et l'auteur se montre brillant dans les accessoires et les décors.
