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Citations sur L'enfant halluciné (99)

J'aurais aimé être aveugle pour deviner votre beauté dans une nuit obscure
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Croyez-vous que les tableaux qu’achètent les gens changent leur cœur quand ils les accrochent sur leur mur ?
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On cuve son rêve encore plus que son vin.
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Ce que nous cherchons obstinément est toujours au-delà de nos mains, au-delà de notre vie p328-29
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Le dessin me sauva la vie, lentement il commença à faire de moi un garçon comme les autres. Je sus rester modeste. Les proportions de mes objets étaient respectées, les formes respiraient enfin. Comme il est dit, la lumière vint. J’eus l’impression de toucher mon rêve. p 238 (édition de poche)

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Plus tard il corrigea mon dessin sans me dire un seul mot. Les lignes qu’il traçait sur ma feuille étaient des étoiles filantes, elles avaient une mélodieuse certitude... Tant d’amour en elles, et dans cet homme méchant tant de périls ! cette contradiction était pour moi une énigme. p 128 (édition de poche)

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Pas de mélancolie. Les peintres naissent et disparaissent, seule la lumière demeure comme un rêve qui ne sait rien de ceux qui l’ont trouvée si belle. p 9 (édition de poche)
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il ne faut pas dramatiser son âge. Seul les morts sont âgés
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Certains de ses gestes étaient ceux d’un fou, un crayon à la main ils étaient ceux d’un sage.
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La rêverie qui m’avait attiré en classe tant de remontrances et souvent des gifles m’était douce. Pourquoi le docteur la condamnait-il ? Pour moi la vie était un point de départ pour rêver. Je n’avais jamais gêné personne dans mon coin. La besogne forcenée des autres était souvent une sorte de routine qui les épuisait, je rêvais et je n’étais pas inquiet. Justement ils étaient jaloux de moi parce qu’ils ne savaient pas trouver le temps de rêver, ils devenaient alors irrités. p 97 (édition de poche)

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