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Critique de garanemsa
Coben Harlan
Double piège
Maya vient d'enterrer son mari assassiné dans un parc. Elle a une petite fille Lilly et elle ancien militaire souffre du syndrome post-traumatique comme de nombreux soldats ayant servis au Moyen-Orient.
Mais que se passe-t-il, sur une caméra installée dans son living pour un peu surveiller la nounou, il lui semble apercevoir son mari. Devient-elle folle ?
Au lieu de se morfondre, elle va prendre le taureau par les cornes il faut qu'elle sache, qu'elle comprenne ce qui lui arrive car d'autres indices l'intrigue.
Puis il y a sa soeur tuée elle aussi quatre mois plus tôt, et voilà que l'arme serait identique pour sa soeur et son mari. Là elle n'hésite plus, elle fonce.
Elle va aller d'un bout à l'autre de la chaine, faisant confiance au personnes qui ne le valent pas, et inversement.
Elle doit comprendre surtout ce qui la fait démarrer c'est cette coïncidence de l'arme, pourquoi et comment.
L'auteur, comme à son habitude va nous laisser suspendu à chaque phrase ou paragraphe, et on se pose aussi des questions, on voudrait comprendre, elle est folle, c'est son trouble post-traumatique qui l'oblige à agir comme elle le fait, et les petits indices dans le texte, pas beaucoup pour nous mettre sur la voie. Oui il y a une famille riche, qui n'est pas trop droite dans ses bottes. Mais quel est le rapport avec ses deux assassinats et sa belle-famille. Il faut qu'elle retourne dans le passé de son mari pour tenter de comprendre.
La fin est bien autre que celle que vous imagineriez, comme pas mal de Harlan Coben.
Double piège
Maya vient d'enterrer son mari assassiné dans un parc. Elle a une petite fille Lilly et elle ancien militaire souffre du syndrome post-traumatique comme de nombreux soldats ayant servis au Moyen-Orient.
Mais que se passe-t-il, sur une caméra installée dans son living pour un peu surveiller la nounou, il lui semble apercevoir son mari. Devient-elle folle ?
Au lieu de se morfondre, elle va prendre le taureau par les cornes il faut qu'elle sache, qu'elle comprenne ce qui lui arrive car d'autres indices l'intrigue.
Puis il y a sa soeur tuée elle aussi quatre mois plus tôt, et voilà que l'arme serait identique pour sa soeur et son mari. Là elle n'hésite plus, elle fonce.
Elle va aller d'un bout à l'autre de la chaine, faisant confiance au personnes qui ne le valent pas, et inversement.
Elle doit comprendre surtout ce qui la fait démarrer c'est cette coïncidence de l'arme, pourquoi et comment.
L'auteur, comme à son habitude va nous laisser suspendu à chaque phrase ou paragraphe, et on se pose aussi des questions, on voudrait comprendre, elle est folle, c'est son trouble post-traumatique qui l'oblige à agir comme elle le fait, et les petits indices dans le texte, pas beaucoup pour nous mettre sur la voie. Oui il y a une famille riche, qui n'est pas trop droite dans ses bottes. Mais quel est le rapport avec ses deux assassinats et sa belle-famille. Il faut qu'elle retourne dans le passé de son mari pour tenter de comprendre.
La fin est bien autre que celle que vous imagineriez, comme pas mal de Harlan Coben.
