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Critique de Antharius
1974, une année mais surtout un événement: une maison qui brûle et un homme ravie de la voir ainsi disparaître...
Alors de suite, un point qui m'a heurté, sensibilité de lecteur, c'est que le personnage principal, le lieutenant Masson a perdu sa fille. C'est idiot mais c'est une vraie claque et on ressent tellement le malaise du personnage que par moment j'ai envisagé arrêter de lire ce livre quand ma grande fille me demandait "c'est quoi l'histoire de ton livre qui fait peur?".
Si on arrive à passer outre on a affaire à un roman très sympathique mais qui en dehors du "choc" à ma sensibilité de papa ne m'a pas transporté: c'est bien écrit, agréable à lire mais on voit vite arriver les lignes en scénarium et le dénouement "final".
Dommage vraiment car avec un personnage principal aussi vibrant ça méritait une histoire plus complexe, plus psychologique que cette "astuce" temporelle.
Alors de suite, un point qui m'a heurté, sensibilité de lecteur, c'est que le personnage principal, le lieutenant Masson a perdu sa fille. C'est idiot mais c'est une vraie claque et on ressent tellement le malaise du personnage que par moment j'ai envisagé arrêter de lire ce livre quand ma grande fille me demandait "c'est quoi l'histoire de ton livre qui fait peur?".
Si on arrive à passer outre on a affaire à un roman très sympathique mais qui en dehors du "choc" à ma sensibilité de papa ne m'a pas transporté: c'est bien écrit, agréable à lire mais on voit vite arriver les lignes en scénarium et le dénouement "final".
Dommage vraiment car avec un personnage principal aussi vibrant ça méritait une histoire plus complexe, plus psychologique que cette "astuce" temporelle.
