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Critique de Irkyno
Faisant fi de certaines critiques négatives, je me suis plongée avec plaisir dans ce polar historique se déroulant dans la Rome antique. Bon, j'avoue ne rien y connaître en matière d'histoire romaine, alors ceci expliquant peut-être cela. Mais les critiques de certains concernaient plus le langage employé par l'autrice que le contexte parfaitement documenté de son roman. Il est surtout question de mots d'argot très modernes utilisés par ses personnages. Je n'ai pas d'avis tranché sur la question et personnellement, cela ne m'a pas choqué. N'en déplaise aux puristes historiens, je pense que l'argot a été employé de tout temps et si le mot « fric » n'était pas employé à l'époque de Néron qui nous dit qu'un autre mot n'était pas utilisé à la place ?
Bref, pour en revenir à l'histoire elle-même, j'ai beaucoup aimé l'intrigue et surtout les personnages. L'auteur à travers son récit nous éclaire beaucoup sur les moeurs de l'époque, les conditions de vie et le destin parfois bien funeste des esclaves. Comme souvent dans mes romans préférés, il est question de confrontation entre deux hommes (ici un fils de sénateur, Lucius Cornelius Lupus et son presque demi-frère, Marcus Tiberius Alexander, le personnage principal du roman). Leur opposition gagnera en intensité dans les dernières pages lorsque de passionnantes révélations seront faites sur Marcus, ce qui me fait attendre la suite avec beaucoup beaucoup beaucoup d'impatience.
La résolution de l'intrigue pourra paraître simpliste à certains, mais comment pourrait-il en être autrement à une époque où seuls la parole, le témoignage visuel ou la position dans la société comptent en l'absence de tout moyen d'investigation moderne ?
Bref, pour en revenir à l'histoire elle-même, j'ai beaucoup aimé l'intrigue et surtout les personnages. L'auteur à travers son récit nous éclaire beaucoup sur les moeurs de l'époque, les conditions de vie et le destin parfois bien funeste des esclaves. Comme souvent dans mes romans préférés, il est question de confrontation entre deux hommes (ici un fils de sénateur, Lucius Cornelius Lupus et son presque demi-frère, Marcus Tiberius Alexander, le personnage principal du roman). Leur opposition gagnera en intensité dans les dernières pages lorsque de passionnantes révélations seront faites sur Marcus, ce qui me fait attendre la suite avec beaucoup beaucoup beaucoup d'impatience.
La résolution de l'intrigue pourra paraître simpliste à certains, mais comment pourrait-il en être autrement à une époque où seuls la parole, le témoignage visuel ou la position dans la société comptent en l'absence de tout moyen d'investigation moderne ?
