>
Critique de StCyr
La vagabonde, c'est une femme seule mais libre qui, revenue des rêves juvéniles d'amour éternel, instruite qu'elle fut par un mariage malheureux, est devenue intolérante aux autres relations amoureuses, aussi supérieures soit elles à cet amour infructueux qui, eu néanmoins cette qualité, qu'aucun autre n'aura, celui d'avoir été le premier.
Vagabonde est la vie d'artiste de music-hall, existence éreintante, mais riche d'amitiés et d'une certaine noblesse. le principal attrait de ce roman est dans ses nombreuses clefs que peut y déceler le lecteur. Colette y règle ses comptes avec Willy, son ex mari, dont la figure ressemble fort à l'homme qu'épousa l'héroïne, Renée Néré. le personnage fortement épris d'elle, rappelle, quant à lui, un jeune homme fortuné avec qui Colette eu une passade. On a aussi cru voir dans certains protagonistes, les célébrités du music-hall que furent Fréhel et Maurice Chevalier.
Hormis l'intéressant aspect documentaire sur la vie d'artiste, j'ai trouvé cette oeuvre bien bavarde, les atermoiements sentimentaux de la vagabonde avec son richard d'amoureux m'ont passablement agacé. Cette impression désagréable s'est à mesure atténuée au dénouement de l'oeuvre empreint d'un renoncement serein.
Vagabonde est la vie d'artiste de music-hall, existence éreintante, mais riche d'amitiés et d'une certaine noblesse. le principal attrait de ce roman est dans ses nombreuses clefs que peut y déceler le lecteur. Colette y règle ses comptes avec Willy, son ex mari, dont la figure ressemble fort à l'homme qu'épousa l'héroïne, Renée Néré. le personnage fortement épris d'elle, rappelle, quant à lui, un jeune homme fortuné avec qui Colette eu une passade. On a aussi cru voir dans certains protagonistes, les célébrités du music-hall que furent Fréhel et Maurice Chevalier.
Hormis l'intéressant aspect documentaire sur la vie d'artiste, j'ai trouvé cette oeuvre bien bavarde, les atermoiements sentimentaux de la vagabonde avec son richard d'amoureux m'ont passablement agacé. Cette impression désagréable s'est à mesure atténuée au dénouement de l'oeuvre empreint d'un renoncement serein.
