De l'auteur, j'avais beaucoup aimé
Blue Jay Way et
Ta mort sera la mienne. Je le retrouve ici dans un genre totalement différent, et je dois avouer que je suis passée à côté de cette lecture.
Le début du roman m'a paru alambiqué, mais c'est moi qui n'était sans doute pas assez concentrée.
J'ai en revanche aimé les passages dans lesquels Julie se rapproche de la vieille dame et y parvient.
Le personnage du père m'a paru inconsistant, mais il est vrai que l'on en sait peu sur lui.
Au fond, seul le personnage de la vieille dame a trouvé grâce à mes yeux, car l'auteur nous livre par petites touches le drame de sa vie, et pourquoi elle base sa vie sur le mensonge.
L'image que je retiendrai (attention divulgachions) :
Celle de la vieille dame, alors jeune fille enfermée à Auschwitz, les pieds dans la boue lors des appels interminables, rêvant à sa poupée partie aux Etats-Unis, comme le lui avait écrit Kafka. Ce sont ces « rêves » qui lui ont permis de tenir.
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