Dans son recueil de poèmes “On dirait une ville“,
Françoise Collin nous emmène dans un univers tout en contraste, où les villes sont des cimetières, où l'ange, comme l'oiseau, sont des charognards, où sous chaque vivant, il y a un mort, et où le grand curateur, celui qui fait tinter les clés du monde, comme elle l'appelle, ne remplit pas toujours ses fonctions d'ordonner le chaos, parfois, souvent, s'en va.
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http://naturewriting.wordpress.com/2008/07/20/on-dirait-une-ville-cest-un-cimetiere/
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