Alléché par l'éloge de ma libraire, j'ai cédé à la tentation d'
une vie merveilleuse.
Alors de quoi ça cause ? Guido et son cousin Vincent rencontrent la love avec Holly (pas le premier soir) et Misty. Jolie situation, bel appartement tout baigne pour nos sympathiques trentenaires. A bien sur, il y a de temps à autre des petits tracas (A ces hommes, ils comprendront jamais rien aux subtilités féminines), Laurie Colwyn nous raconte ça avec une certaine élégance, mais alors pourquoi ce sentiment de m'en moquer comme de l'an quarante. Avec une pointe de gentillesse pour pas dire de niaiserie franchement pénible, elle déroule un récit sans aspérités. Comme si le roman était déjà daté, un brin vieillot.
Une vie merveilleuse, si c'est ça, je passe mon tour.
Allez je retourne vers mon bon Cali, dit Bruno « C'est quand le bonheur ? »
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