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Ce livre 100% testostérone, à la couverture si accrocheuse, m'a assez déçue… jusqu'à la page 164 (sur 439), à partir de laquelle l'intrigue prend un tour nouveau et devient bien plus palpitante. Plongés dans l'univers des cartels de drogues londoniens aux côtés d'un narrateur qui voulait sa retraite imminente, on côtoie des personnages tous plus cyniques, brutaux et caricaturaux les uns que les autres. Oubliée la subtilité des lords anglais, faites places aux businessmen qui se prennent pour des parrains ! le ton très (trop) oral du narrateur frôle de très (trop) près le grossier inutile, mais se veut sans doute rétablir l'ambiance virile et sans merci du milieu. L'histoire, une fois lancée, est bien ficelée, mais 164 pages pour y parvenir, c'est un peu long.