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Critique de helolitla
Acheté en partie - je suis faible - à cause de sa jolie couverture (et parce que le résumé me faisait envie, Les secrets de Temple College démarrait plutôt bien. Mais... je me suis un peu perdue au milieu du roman, et c'est dommage.
Livy, qui a récemment perdu sa meilleure amie, décédée d'une leucémie, doit intégrer un nouvel établissement le très réputé Temple College. Son père vient d'y être embauché en tant que bibliothécaire. Mais très vite la jeune fille, qui ne se sent pas à sa place, se retrouve irrésistiblement attirée par les toits du collège et par les sept sentinelles, sept statues de pierre semblables à des anges, qui décorent le lieu.
Du mystère, un peu de fantastique, d'alchimie. D'étranges phénomènes. L'histoire, je le disais, me plaisait plutôt bien au début. Si l'on excepte les deux pestes insupportables, que j'ai trouvées caricaturales au possible. L'autrice rend bien compte aussi du malaise que l'on peut ressentir quand on ne se sent pas à sa place dans un groupe, ce décalage.
Et puis, d'un coup, on bascule dans l'onirique, dans l'inconnu, et c'est resté un peu trop flou pour moi. Dommage car c'était un moyen original de parler de deuil, de dire au revoir aux personnes qui nous sont chères.
Une lecture pas désagréable donc, mais qui ne m'a pas totalement convaincue.
Livy, qui a récemment perdu sa meilleure amie, décédée d'une leucémie, doit intégrer un nouvel établissement le très réputé Temple College. Son père vient d'y être embauché en tant que bibliothécaire. Mais très vite la jeune fille, qui ne se sent pas à sa place, se retrouve irrésistiblement attirée par les toits du collège et par les sept sentinelles, sept statues de pierre semblables à des anges, qui décorent le lieu.
Du mystère, un peu de fantastique, d'alchimie. D'étranges phénomènes. L'histoire, je le disais, me plaisait plutôt bien au début. Si l'on excepte les deux pestes insupportables, que j'ai trouvées caricaturales au possible. L'autrice rend bien compte aussi du malaise que l'on peut ressentir quand on ne se sent pas à sa place dans un groupe, ce décalage.
Et puis, d'un coup, on bascule dans l'onirique, dans l'inconnu, et c'est resté un peu trop flou pour moi. Dommage car c'était un moyen original de parler de deuil, de dire au revoir aux personnes qui nous sont chères.
Une lecture pas désagréable donc, mais qui ne m'a pas totalement convaincue.
