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Critique de Arthore


XIIème S. le pape Clément a demandé à l'alchimiste Biancofuori de composer une arme abominable, un poison pestilentiel, les Lacrima Christi, pour anéantir toute vie dans Saint Jean d'Acre, les Croisés pouvant ainsi prendre la cité lorsque "les miasmes de la mort se seront retirés".
Mais afin de prémunir l'humanité, le savant qui a du passer un accord avec un obscur voyageur, a également composé un remède dont il a crypté la recette.
De nos jours, alors que New York est déjà dépassé par les effets du virus, une course contre la montre s'est engagé pour retrouver l'antidote aux Larmes du Christ, déjouer les plans de l'Obscur Voyageur et stopper la folie de la Corée du Nord, prête à tout pour s'octroyer l'arme fatale.
Dans ce T3, tout s'accélère. Se croisent le Vatican, une société secrète, la CIA, les Gardiens du Sang, le Rectificateur, le tout sur fond de références maçonniques.
Il faut reconnaitre que cet emballement manque un peu de réalisme et flirte avec un côté brouillon.
Suite avec le T4 pour voir si nous allons tomber du côté de l'ennui ou de l'envie de poursuivre.
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