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Critique de umezzu


Printemps 1917, la guerre n'en finit pas. Les offensives du commandement français sont toujours aussi irréalistes et extrêmement coûteuses en hommes. Chacun vit chaque journée comme sa dernière. Ce que montre de façon poignante, les dessins adressés par Albert à sa soeur. Jacques extériorise ce sentiment d'abandon et d'inanité du commandement. le voilà jugé comme mutin.
Pendant ce temps, loin du front, les femmes remplacent au travail leurs hommes, comme employées de filature par exemple.
Cette BD réussit pleinement à reconstituer la Grande guerre, pavée de nationalisme aveugle et d'erreurs stratégiques. Quelque part un hommage aux 1.400.000 soldats morts pour la patrie et aux innombrables gueules cassées.
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