Résumé très clair et lumineux même, de Corbin, sur les différentes positions, notamment celle d'Abû-l-Barakât en plus de celle d'
Ibn Sîna, qui éclaire davantage l'opinion de Sohrawardî, sur l'union ou la relation de l'Âme céleste et son pendant terrestre. C'est que le Sheykh al-Ishraq a un style d'une concision qui frôle l'elliptique, le cher garçon, obligeant à se reporter à ses commentateurs (Ghiyat ad Dîn Shirazî et Mollah Sadra) mais qui eux-mêmes y ajoutent leur grain de sel. En fait on ne comprend bien Sohrawardî que lorsqu'on a saisi
Ibn Sîna, c'est-à-dire d'où Sohrawardî reprend la route et d'où il s'éloigne du point de départ.
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