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Critique de Goeland2
Le livre prend une famille moyenne vivant principalement à Toulouse et à Paris: le père, immigré italien, la mère, plus éduquée, les quatre enfants et les petits-enfants, soit une dizaine de personnages principaux.
Il choisit dix évènements universels et symboliques : le nuage de Tchernobyl (28 avril 1986), l'invasion de l'Irak par les Etats-Unis et leurs sbires (17 janvier 1991, la victoire de l'équipe de France (12 juillet 1998), la destruction des Twin towers (11 septembre 2001), la manif anti le Pen (1er mai 2002), l'élection de Barak Obama (5 novembre 2008), les attentats du 13 novembre 2015, le confinement de mai 2020, une tempête liée au dérèglement climatique en 2026, les premiers pas de l'homme sur la lune (22 juillet 1969.
Le choix de ces évènements est intéressant et semble pertinent.
Un personnage est saisi lors de chacun de ces évènements, il se raconte, se positionne par rapport aux membres de sa famille dont il permet de suivre l'évolution.
Le projet est habile mais sa mise en oeuvre est décevante : les personnages sont effleurés, les évènements-phares aussi. Tout est superficiel. On abandonne pas la lecture par sympathie pour l'auteure mais on termine en adoptant la diagonale.
Il choisit dix évènements universels et symboliques : le nuage de Tchernobyl (28 avril 1986), l'invasion de l'Irak par les Etats-Unis et leurs sbires (17 janvier 1991, la victoire de l'équipe de France (12 juillet 1998), la destruction des Twin towers (11 septembre 2001), la manif anti le Pen (1er mai 2002), l'élection de Barak Obama (5 novembre 2008), les attentats du 13 novembre 2015, le confinement de mai 2020, une tempête liée au dérèglement climatique en 2026, les premiers pas de l'homme sur la lune (22 juillet 1969.
Le choix de ces évènements est intéressant et semble pertinent.
Un personnage est saisi lors de chacun de ces évènements, il se raconte, se positionne par rapport aux membres de sa famille dont il permet de suivre l'évolution.
Le projet est habile mais sa mise en oeuvre est décevante : les personnages sont effleurés, les évènements-phares aussi. Tout est superficiel. On abandonne pas la lecture par sympathie pour l'auteure mais on termine en adoptant la diagonale.
