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Critique de Hulot
Dans ce quatrième et dernier tome , l'auteur nous parle surtout de l'OAS.
Il nous décrit les attentats , les meurtres souvent gratuits et la terreur que faisaient régner ces groupes civils et militaires.
le but de ces personnes était de créer une fracture politique et humaine totale avec les musulmans du pays mais également de garder une partie de l'Algérie aux mains des Européens. Ils n'ont réussi que la première partie de leur plan et en conséquence, ont fait tout perdre aux seconds.
Dans les rangs du FLN , les chefs se sont affrontés pour la gouvernance de la future Algérie indépendante .
Comme pour les livres précédents, Yves Courrière s'est appuyé sur les témoignages des principaux intervenants ainsi que sur son expérience personnelle car il était lui-même sur place en tant que grand reporter.
Ces livres datent des années 1970 ( il est certain que d'autres ouvrages plus récents auront bénéficié de l'ouverture de certaines archives) mais la somme de travail de l'auteur constitue une bonne approche de cette période de notre histoire.
Il nous décrit les attentats , les meurtres souvent gratuits et la terreur que faisaient régner ces groupes civils et militaires.
le but de ces personnes était de créer une fracture politique et humaine totale avec les musulmans du pays mais également de garder une partie de l'Algérie aux mains des Européens. Ils n'ont réussi que la première partie de leur plan et en conséquence, ont fait tout perdre aux seconds.
Dans les rangs du FLN , les chefs se sont affrontés pour la gouvernance de la future Algérie indépendante .
Comme pour les livres précédents, Yves Courrière s'est appuyé sur les témoignages des principaux intervenants ainsi que sur son expérience personnelle car il était lui-même sur place en tant que grand reporter.
Ces livres datent des années 1970 ( il est certain que d'autres ouvrages plus récents auront bénéficié de l'ouverture de certaines archives) mais la somme de travail de l'auteur constitue une bonne approche de cette période de notre histoire.
