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Critique de LoupAlunettes
Il est des Contes qui vous laissent coi, c'est le cas pour ce Conte là, pour moi.
Mais ces contes atypiques dès fois philosophiques, peuvent aussi faire tinter quelque chose en votre âme, peut-être en votre conscience également qui sait.
Il se passe quelque chose à ces deux endroits, ils ne laissent pas indifférents.
Qu'en sera t-il des jeunes lecteurs?
La dernière phrase est assez éloquente du contenu.
"On peut vivre sans roi, sans reine, mais un roi, grand ou petit, ne peut pas vivre sans rêve."
C'est le cas du roi de cette histoire.
Un roi qui s'est offert du sens avec un projet propre.
Chaque jour, les habitants de son royaume l'ont vu allez et venir sans trop se soucier de ce qui l'animait, il était sûr pour eux que ce n'était pas pour le royaume, alors chacun reprit son train-train quotidien.
Ils pouvaient se passer de roi à priori, aussi, pouvons-nous supposer qu'il avait du beau temps à tuer.
Les lecteurs se rendront compte que les aspirations de ce roi-là étaient grandes, il voyait plus grand que lui, à l'Est, à l'Ouest, au Nord et au Sud.
Tout les jours, ce roi à collecter des graines du grand arbre planté au coeur du pays, l'arbre sacré Biloba, pour les semer aux quatre coins de son royaume.
Il a veillé, étendu son territoire forêt et a vu pousser.
Il a toujours rêver de régner sur le royaume d'une grande forêt.
Voici qui ne semble pas vraiment inutile, n'est ce pas jeunes lecteurs?
Dans cette histoire, il y a deux histoires réservées aux jeunes lecteurs.
La première, nous venons de la raconter.
La deuxième nous rappellera le célèbre conte du petit Tom Pouce.
Ce Conte est une vraie mine d'inspiration si l'on compte le nombre d'adaptations et de parodies.
Il est le symbole de la transmission.
C'est sous l'arbre Biloba qu'un vieux couple pria pour une petite descendance.
Les deux miracles opérèrent, un petit Grain-d'un-pouce naquit et la forêt poussa, poussa aussi.
L'illustratrice Eva Offreda jouera astucieusement sur un jeu de couleurs pour distinguer les deux histoires contées par Alex Cousseau, alternativement ou sur la même page parfois, bleu et rouge pour Grain-d'un-pouce et bleu et vert pour le roi.
Qu'adviendra t-il du roi qui n'a pas de descendance pour veiller sur sa forêt?
Qu'adviendra t'il de Grain-d'un-pouce qui ne se voit pas grandir d'un pouce et dont les perspectives d'avenir semblent trop hautes pour sa taille?
Les auteurs font croiser les deux histoires et les personnages évidement se trouveront par la bonne providence au fond de l'estomac d'un dragon à deux têtes.
On ne sait si la deuxième lecture sur l'importance de la préservation de la planète atteindra les jeunes lecteurs, en revanche, voici un rôle d'importance pour un si petit bonhomme, courageux mais prédestiné à peu de choses.
Ce n'est ainsi donc pas la taille qui compte, le conte de Tom Pouce nous l'avait bien dit.
Parfois, dans les histoires, il y a aussi des rois grands comme un pouce.
Chacun se fera sa bonne idée.
Le travail d'impression colorée et travaillé en aplats est intéressant et agréable à l'oeil.
Mais ces contes atypiques dès fois philosophiques, peuvent aussi faire tinter quelque chose en votre âme, peut-être en votre conscience également qui sait.
Il se passe quelque chose à ces deux endroits, ils ne laissent pas indifférents.
Qu'en sera t-il des jeunes lecteurs?
La dernière phrase est assez éloquente du contenu.
"On peut vivre sans roi, sans reine, mais un roi, grand ou petit, ne peut pas vivre sans rêve."
C'est le cas du roi de cette histoire.
Un roi qui s'est offert du sens avec un projet propre.
Chaque jour, les habitants de son royaume l'ont vu allez et venir sans trop se soucier de ce qui l'animait, il était sûr pour eux que ce n'était pas pour le royaume, alors chacun reprit son train-train quotidien.
Ils pouvaient se passer de roi à priori, aussi, pouvons-nous supposer qu'il avait du beau temps à tuer.
Les lecteurs se rendront compte que les aspirations de ce roi-là étaient grandes, il voyait plus grand que lui, à l'Est, à l'Ouest, au Nord et au Sud.
Tout les jours, ce roi à collecter des graines du grand arbre planté au coeur du pays, l'arbre sacré Biloba, pour les semer aux quatre coins de son royaume.
Il a veillé, étendu son territoire forêt et a vu pousser.
Il a toujours rêver de régner sur le royaume d'une grande forêt.
Voici qui ne semble pas vraiment inutile, n'est ce pas jeunes lecteurs?
Dans cette histoire, il y a deux histoires réservées aux jeunes lecteurs.
La première, nous venons de la raconter.
La deuxième nous rappellera le célèbre conte du petit Tom Pouce.
Ce Conte est une vraie mine d'inspiration si l'on compte le nombre d'adaptations et de parodies.
Il est le symbole de la transmission.
C'est sous l'arbre Biloba qu'un vieux couple pria pour une petite descendance.
Les deux miracles opérèrent, un petit Grain-d'un-pouce naquit et la forêt poussa, poussa aussi.
L'illustratrice Eva Offreda jouera astucieusement sur un jeu de couleurs pour distinguer les deux histoires contées par Alex Cousseau, alternativement ou sur la même page parfois, bleu et rouge pour Grain-d'un-pouce et bleu et vert pour le roi.
Qu'adviendra t-il du roi qui n'a pas de descendance pour veiller sur sa forêt?
Qu'adviendra t'il de Grain-d'un-pouce qui ne se voit pas grandir d'un pouce et dont les perspectives d'avenir semblent trop hautes pour sa taille?
Les auteurs font croiser les deux histoires et les personnages évidement se trouveront par la bonne providence au fond de l'estomac d'un dragon à deux têtes.
On ne sait si la deuxième lecture sur l'importance de la préservation de la planète atteindra les jeunes lecteurs, en revanche, voici un rôle d'importance pour un si petit bonhomme, courageux mais prédestiné à peu de choses.
Ce n'est ainsi donc pas la taille qui compte, le conte de Tom Pouce nous l'avait bien dit.
Parfois, dans les histoires, il y a aussi des rois grands comme un pouce.
Chacun se fera sa bonne idée.
Le travail d'impression colorée et travaillé en aplats est intéressant et agréable à l'oeil.
