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Critique de horline


Parler de Cronenberg n'est jamais simple.Mais une chose est sûre : on n'écrit pas des livres comme on écrit des scénarios ...David Cronenberg semble l'ignorer. Si le texte porte la marque des obsessions de l'auteur-cinéaste pour les mutilations du corps et les pratiques névrotiques, alternatives ou déviantes selon où l'on place le curseur de la morale, ce qui m'a poussée à abandonner cette fiction c'est avant tout l'esthétique littéraire. L'aridité et le séquençage de l'écriture ainsi que le style explicite ont totalement dévoré la dimension romanesque...du moins pour le premier tiers de cette fiction. Je n'ai pas eu la curiosité d'aller au-delà.
Ceci dit Consumés ferait sûrement un bon film.
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