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Critique de LoupAlunettes
Cet album s'appelle Farwest.
Les personnages posent fièrement en 1ère de couverture.
Ce chien a un sourire railleur.
Un despérado l'aurait dégommé pour moins que ça, pour se payer sa tête.
L'ouest n'est pas une affaire de rigolos.
Enfin, cela sera sans doute bien dur et rugueux à souhait, nous verrons, ouvrons le livre.
Et la loi de l'ouest sauvage devrait en promettre.
C'est pas pour les doux sucrés comme du miel, non, m'dame.
Si bien que ce monsieur, le héros, qui était parti à la chasse, le bougre a perdu sa place.
C'est vache.
Dans les western, il y a beaucoup de vaches.
Là, il n'y en pas une, sauf ce mauvais tour de va-nu-pied.
Comment voulez-vous découvrir la vie et partir au loin si vos amis ne vous gardent pas une place.
L'ouest sauvage n'est pas un pays de bons sentiments, mon gars.
(Bruit de chique craché dans un pot. Je ne manque pas la chique évidement mais je suis le chroniqueur et je peux ici tout faire, même avoir une haleine de putois).
Bref, ce brave gaillard imaginé par Peter Eliott revient bredouille, sans bison pourfendu de flèches entre les deux yeux et il rencontre son remplaçant, il s'appelle Koko.
Ce drôle de Koko a une tête de Cartoons des premiers âges du cinéma, c'est ainsi que le présente Kitty Crowther, une tête joviale, aussi ronde que son nez, que ses yeux, avec un chapeau melon par dessus.
Les auteurs n'ont pas peur de dégainer des brins d'absurde à tout va et c'est tordant de rire (youpi..non, flûte! Enfin, je ne sais plus).
Finalement, il est plutôt sympathique ce Koko.
Ces nouveaux amis lui offrent même un arc et des flèches pour partir à la chasse...
Avec Peter Eliott aux commandes, on reconnait le style graphique de Kitty Crowther mais on ne retrouve pas son univers si caractéristiquement poétique et mélancolique.
Excellent d'humour.
Les personnages posent fièrement en 1ère de couverture.
Ce chien a un sourire railleur.
Un despérado l'aurait dégommé pour moins que ça, pour se payer sa tête.
L'ouest n'est pas une affaire de rigolos.
Enfin, cela sera sans doute bien dur et rugueux à souhait, nous verrons, ouvrons le livre.
Et la loi de l'ouest sauvage devrait en promettre.
C'est pas pour les doux sucrés comme du miel, non, m'dame.
Si bien que ce monsieur, le héros, qui était parti à la chasse, le bougre a perdu sa place.
C'est vache.
Dans les western, il y a beaucoup de vaches.
Là, il n'y en pas une, sauf ce mauvais tour de va-nu-pied.
Comment voulez-vous découvrir la vie et partir au loin si vos amis ne vous gardent pas une place.
L'ouest sauvage n'est pas un pays de bons sentiments, mon gars.
(Bruit de chique craché dans un pot. Je ne manque pas la chique évidement mais je suis le chroniqueur et je peux ici tout faire, même avoir une haleine de putois).
Bref, ce brave gaillard imaginé par Peter Eliott revient bredouille, sans bison pourfendu de flèches entre les deux yeux et il rencontre son remplaçant, il s'appelle Koko.
Ce drôle de Koko a une tête de Cartoons des premiers âges du cinéma, c'est ainsi que le présente Kitty Crowther, une tête joviale, aussi ronde que son nez, que ses yeux, avec un chapeau melon par dessus.
Les auteurs n'ont pas peur de dégainer des brins d'absurde à tout va et c'est tordant de rire (youpi..non, flûte! Enfin, je ne sais plus).
Finalement, il est plutôt sympathique ce Koko.
Ces nouveaux amis lui offrent même un arc et des flèches pour partir à la chasse...
Avec Peter Eliott aux commandes, on reconnait le style graphique de Kitty Crowther mais on ne retrouve pas son univers si caractéristiquement poétique et mélancolique.
Excellent d'humour.
