Je quitte Mars de Zorn pour tomber par hasard sur ce texte de vingt pages de
Stig Dagerman. Pour moi qui ne cesse de répéter que j'apprécie les livres courts et denses, je suis servie!
Ils ont à peu près le même âge et la même douleur existentielle. L'un en veut à son éducation et à toute la bourgeoisie hypocrite.
Stig Dagerman ne s'en prend à personne. Il fait une brève expérience de liberté sur laquelle il espérait la consolation mais il n'en est rien. La vie ne gagne pas.
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