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Critique de plumesauvage
J'ai tellement de mal à croire qu'il s'agit là du même auteur que "Charlie et la chocolaterie" !
C'était un livre idéal pour enfants. L'histoire était parfaitement ficelée, avec le contraste entre la pauvreté d'un garçon malingre et la chocolaterie excentrique affolant les papilles gustatives. le ticket d'or, les enfants, la fabrique... tout était mémorable !
Ici, ma déception s'est accentuée de chapitres en chapitres. Je veux bien croire que Willy Wonka est capable de créer des confiseries qui changent de couleurs ou des glaces qui résistent à la chaleur solaire. Mais qu'il détienne un ascenseur capable de les projeter dans l'espace, c'est trop ! Sans compter ses pilules qui rajeunissent les êtres humains... Son "génie" est tiré par les cheveux ! Il est chimiste et confiseur, pas ingénieur aéronautique ni détenteur de l'élixir de jouvence !
D'autre part, j'ai senti que l'histoire allait dans tous les sens. On est dans l'espace où des aliens les pourchassent ; on retourne à la chocolaterie pour ensuite descendre vers une planète où les gens qui ne sont pas encore nés attendent leur heure - pardon ? - ; on finit à la maison blanche où les trois vieux acceptent enfin de lever leurs fesses - c'était montré comme l'enjeu du livre, c'est vous dire.
Tout est confus - pour ne pas dire que c'est du n'importe quoi. Même un enfant serait dubitatif, surtout s'il a lu le premier tome.
Et je n'ai pas encore parlé du principal défaut : les personnages ! Ils n'ont présenté aucun charme à mes yeux. le président stupide, c'est revu. La figure féminine autoritaire, c'est commun à toutes les oeuvres de cet auteur. J'ai souhaité la mort des grand-mères de Charlie au moins cent fois, tant elles se répétaient et tant elles étaient agaçantes. Charlie, ses parents et son grand-père Joe étaient presque inexistants. Il y avait en somme trop de protagonistes que j'aurais voulu voir kidnappés par les aliens...
PS : pourquoi l'auteur n'a t-il donc pas choisi de nous décrire l'apprentissage de Charlie dans la chocolaterie ? Ou alors, ses vacances avec sa famille dans le Space Hotel ? Quelle mouche l'a piquée au cours de l'écriture de cette suite, dont je vais nier l'existence pour mon propre équilibre mental ?
C'était un livre idéal pour enfants. L'histoire était parfaitement ficelée, avec le contraste entre la pauvreté d'un garçon malingre et la chocolaterie excentrique affolant les papilles gustatives. le ticket d'or, les enfants, la fabrique... tout était mémorable !
Ici, ma déception s'est accentuée de chapitres en chapitres. Je veux bien croire que Willy Wonka est capable de créer des confiseries qui changent de couleurs ou des glaces qui résistent à la chaleur solaire. Mais qu'il détienne un ascenseur capable de les projeter dans l'espace, c'est trop ! Sans compter ses pilules qui rajeunissent les êtres humains... Son "génie" est tiré par les cheveux ! Il est chimiste et confiseur, pas ingénieur aéronautique ni détenteur de l'élixir de jouvence !
D'autre part, j'ai senti que l'histoire allait dans tous les sens. On est dans l'espace où des aliens les pourchassent ; on retourne à la chocolaterie pour ensuite descendre vers une planète où les gens qui ne sont pas encore nés attendent leur heure - pardon ? - ; on finit à la maison blanche où les trois vieux acceptent enfin de lever leurs fesses - c'était montré comme l'enjeu du livre, c'est vous dire.
Tout est confus - pour ne pas dire que c'est du n'importe quoi. Même un enfant serait dubitatif, surtout s'il a lu le premier tome.
Et je n'ai pas encore parlé du principal défaut : les personnages ! Ils n'ont présenté aucun charme à mes yeux. le président stupide, c'est revu. La figure féminine autoritaire, c'est commun à toutes les oeuvres de cet auteur. J'ai souhaité la mort des grand-mères de Charlie au moins cent fois, tant elles se répétaient et tant elles étaient agaçantes. Charlie, ses parents et son grand-père Joe étaient presque inexistants. Il y avait en somme trop de protagonistes que j'aurais voulu voir kidnappés par les aliens...
PS : pourquoi l'auteur n'a t-il donc pas choisi de nous décrire l'apprentissage de Charlie dans la chocolaterie ? Ou alors, ses vacances avec sa famille dans le Space Hotel ? Quelle mouche l'a piquée au cours de l'écriture de cette suite, dont je vais nier l'existence pour mon propre équilibre mental ?
