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Critique de camati
Petit cure de jouvence et bain linguistique avec la lecture de Matilda de Roald Dahl dans sa version originale. L'originalité et l'humour britanniques sont au rendez-vous!
Matilda est une petite fille de 4-5 ans, enthousiasmante, intelligente, astucieuse, sympathique : incroyable vu le milieu familial dans lequel elle évolue, à l'aise financièrement parlant, mais pauvre sur le plan culturel et affectif : un père escroc qui trafique des voitures d'occasion avant de les vendre, une mère dont les seuls centres d'intérêt sont le « bingo », c‘est à dire le loto, et la télévision.
Son frère Michael est « normal » mais marche dans les pas de son père, donc il ne sert pas de compagnon de jeux à Matilda. Livrée à elle-même, ignorée de tous, la fillette s'adonne à la lecture et développe seule son langage et son intelligence, jusqu'à ce qu'elle entre à l'école. Là, elle fait connaissance de Miss Honey – avec un nom pareil (cela veut dire « miel »), l'institutrice ne peut être que gentille. Celle-ci est fascinée par la fillette et va tenter de la protéger de ses parents et de la terrifiante directrice d‘école, Mrs Trunchbull, qui n'aime pas les enfants. Elle le sera davantage encore en découvrant les pouvoirs « paranormaux » de Matilda. Elles vont se lier d'amitié car elles ont des choses en commun.
En ces temps de confinement, j'ai été ravie de pouvoir, comme Miss Honey et Matilda, fuir un quotidien un peu difficile. La fraîcheur et la gentillesse (sentiment cher à Roald Dahl) de Matilda m'ont fait du bien, m'ont fait sourire voire rire. La voir triompher de la bêtise et de la méchanceté des adultes a été une véritable jouissance.
Je vous invite à découvrir ce lire, si ce n'est déjà fait, cela vous fera passer un bon moment, si vous avez gardé une âme d'enfant.
Matilda est une petite fille de 4-5 ans, enthousiasmante, intelligente, astucieuse, sympathique : incroyable vu le milieu familial dans lequel elle évolue, à l'aise financièrement parlant, mais pauvre sur le plan culturel et affectif : un père escroc qui trafique des voitures d'occasion avant de les vendre, une mère dont les seuls centres d'intérêt sont le « bingo », c‘est à dire le loto, et la télévision.
Son frère Michael est « normal » mais marche dans les pas de son père, donc il ne sert pas de compagnon de jeux à Matilda. Livrée à elle-même, ignorée de tous, la fillette s'adonne à la lecture et développe seule son langage et son intelligence, jusqu'à ce qu'elle entre à l'école. Là, elle fait connaissance de Miss Honey – avec un nom pareil (cela veut dire « miel »), l'institutrice ne peut être que gentille. Celle-ci est fascinée par la fillette et va tenter de la protéger de ses parents et de la terrifiante directrice d‘école, Mrs Trunchbull, qui n'aime pas les enfants. Elle le sera davantage encore en découvrant les pouvoirs « paranormaux » de Matilda. Elles vont se lier d'amitié car elles ont des choses en commun.
En ces temps de confinement, j'ai été ravie de pouvoir, comme Miss Honey et Matilda, fuir un quotidien un peu difficile. La fraîcheur et la gentillesse (sentiment cher à Roald Dahl) de Matilda m'ont fait du bien, m'ont fait sourire voire rire. La voir triompher de la bêtise et de la méchanceté des adultes a été une véritable jouissance.
Je vous invite à découvrir ce lire, si ce n'est déjà fait, cela vous fera passer un bon moment, si vous avez gardé une âme d'enfant.
