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Critique de pcl
Le premier roman de Gerty Dambury s'intitule "Les Rétifs" publié aux Éditions du Manguier en 2012.
Ce roman tourne autour de deux disparitions et surtout d'une manifestation.
L'histoire de ce roman commence de manière très agitée mais je ne pensais pas qu'il allait y avoir autant de suspens. Cette petite Émilienne cherche à savoir où est passé son père disparu depuis trois jours ainsi que sa maitresse Mme Ladal qui ne se présente plus dans son établissement. Cette dernière cherche aussi à comprendre, sur la place de la Victoire, pourquoi les forces de l'ordre se livrent à des violences contre des hommes.
Le personnage principal est très particulier: c'est une petite fille âgée de neuf ans qui fait preuve de beaucoup de courage et de curiosité.
Tout d'abord je trouve que ce roman se démarque des autres: il parle de politique ce qui est rare dans les romans d'aujourd'hui mais malgré cela cette histoire racontée n'est qu'accrochante et intéressante et ce sont ces plus qui font que l'ai beaucoup apprécié. Gerty Damùbury a mis quelque chose qui fait même derrière le réalisme que dévoile ce livre il se cache une histoire passionnante. J'ai beaucoup aimé les digressions, elles apportent de " l'action " au roman tandis que d'autres apportent des informations nouvelles sur leur vie et celle des autres ou encore, elles apportent une description de la Guadeloupe tel qu'ils la voient. Ces digressions étaient racontées par plusieurs narrateurs: des fantômes qui sont les amis de la petite et cela m'a énormément plu car ils étaient très divertissants. En lisant ce livre j'étais emportée dans le monde d'Emilienne alors qu'en temps normal la lecture et moi sommes des ennemies. La forme de ce roman est originale et assez impressionnante: les chapitres sont présentés sous forme de partition de danse. J'ai aussi beaucoup aimé les expressions et les phrases créoles qui me font rire parce qu'elles me projetaient dans mon monde créole et en plus le créole guadeloupéen est une langue créole que j'aime beaucoup et la retrouver dans ce roman l'a beaucoup plu.
Comme je disais j'aime le créole guadeloupéen et en tombant sur cette citation j'ai attrapé un fou rire , celle-ci me faisait rire car ma grande soeur me chantait cette musique souvent et que d'ailleurs j'avais oublié et cela m'a permis de remonter des souvenirs lointains.
J'ai eu l'occasion de rencontrer Gerty Dambury lors du prix Carbet 2013 et j'ai tellement aimé le livre que je lui ai demandé si la petite Émilienne revivra un jour, si ces fantômes seront toujours aussi drôles et sa réponse a été " peut-être ". En attendant je vous le conseille fortement même si son début n'est pas passionnant.
Ce roman tourne autour de deux disparitions et surtout d'une manifestation.
L'histoire de ce roman commence de manière très agitée mais je ne pensais pas qu'il allait y avoir autant de suspens. Cette petite Émilienne cherche à savoir où est passé son père disparu depuis trois jours ainsi que sa maitresse Mme Ladal qui ne se présente plus dans son établissement. Cette dernière cherche aussi à comprendre, sur la place de la Victoire, pourquoi les forces de l'ordre se livrent à des violences contre des hommes.
Le personnage principal est très particulier: c'est une petite fille âgée de neuf ans qui fait preuve de beaucoup de courage et de curiosité.
Tout d'abord je trouve que ce roman se démarque des autres: il parle de politique ce qui est rare dans les romans d'aujourd'hui mais malgré cela cette histoire racontée n'est qu'accrochante et intéressante et ce sont ces plus qui font que l'ai beaucoup apprécié. Gerty Damùbury a mis quelque chose qui fait même derrière le réalisme que dévoile ce livre il se cache une histoire passionnante. J'ai beaucoup aimé les digressions, elles apportent de " l'action " au roman tandis que d'autres apportent des informations nouvelles sur leur vie et celle des autres ou encore, elles apportent une description de la Guadeloupe tel qu'ils la voient. Ces digressions étaient racontées par plusieurs narrateurs: des fantômes qui sont les amis de la petite et cela m'a énormément plu car ils étaient très divertissants. En lisant ce livre j'étais emportée dans le monde d'Emilienne alors qu'en temps normal la lecture et moi sommes des ennemies. La forme de ce roman est originale et assez impressionnante: les chapitres sont présentés sous forme de partition de danse. J'ai aussi beaucoup aimé les expressions et les phrases créoles qui me font rire parce qu'elles me projetaient dans mon monde créole et en plus le créole guadeloupéen est une langue créole que j'aime beaucoup et la retrouver dans ce roman l'a beaucoup plu.
Comme je disais j'aime le créole guadeloupéen et en tombant sur cette citation j'ai attrapé un fou rire , celle-ci me faisait rire car ma grande soeur me chantait cette musique souvent et que d'ailleurs j'avais oublié et cela m'a permis de remonter des souvenirs lointains.
J'ai eu l'occasion de rencontrer Gerty Dambury lors du prix Carbet 2013 et j'ai tellement aimé le livre que je lui ai demandé si la petite Émilienne revivra un jour, si ces fantômes seront toujours aussi drôles et sa réponse a été " peut-être ". En attendant je vous le conseille fortement même si son début n'est pas passionnant.
