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Critique de kawasu
La préface de Jean-Pierre Verney décrit bien l'ensemble de cet ouvrage où la dimension historique est particulièrement intéressante.
« Soudain, le 22 février, le régiment est mis en alerte : « Il paraît que cela cogne fort à Verdun. » Effectivement le 408e rejoint le champ de bataille. Là, brutalement, tout au long d'une centaine d'exceptionnels feuillets, Romain Darchy nous plonge, avec une écriture saisissante, dans cette bataille titanesque que tous les combattants ont comparée à l'enfer. À cette période, Romain Darchy n'est qu'un simple agent de liaison, un coureur, c'est-à-dire celui qui doit, quoiqu'il en coûte, faire parvenir les ordres des premières lignes vers l'arrière puis de l'arrière vers l'avant. Et cela quelque soit son état d'épuisement, l'intensité des bombardements ou la proximité de l'ennemi. »
J'ai particulièrement apprécié ce livre parce qu'il relate, en quatre parties, tous les déplacements de Romain Darchy de 1914-1918. Cet ensemble nous permet donc d'acquérir, progressivement, une vision générale sur le développement de ce conflit, la vie difficile des poilus dans les tranchées, les bombardements, la mort des camarades, les blessures, les assauts, Verdun, la cote 304,... (voir table des matières). de plus, la carte placée au début de chaque partie facilite grandement la compréhension des déplacements de la 408e et, plus particulièrement, pour une personne qui ne n'habite pas la France. Par contre, cet ouvrage ne traite aucunement des causes à l'origine de cette guerre, des stratégies utilisées, des forces qui s'opposent (français, anglais, américains, italiens et allemands) et des batailles décisives qui ont mis fin à ce conflit.
Première partie : En Picardie. Décembre 1914-février 1916
Deuxième partie : Verdun. Février-mars 1916 (quelques chapitre de cette partie)
Chapitre premier. Alerte
Chapitre II. Adieu Montdidier
Chapitre V. Premières visions de la bataille naissante
Chapitre X. L'enterrement d'un vivant (Romain Darchy)
Troisième partie : La cote 304. Juillet-août 1917
Quatrième partie : La bataille de Champagne et la captivité. Juillet-novembre 1918
« Soudain, le 22 février, le régiment est mis en alerte : « Il paraît que cela cogne fort à Verdun. » Effectivement le 408e rejoint le champ de bataille. Là, brutalement, tout au long d'une centaine d'exceptionnels feuillets, Romain Darchy nous plonge, avec une écriture saisissante, dans cette bataille titanesque que tous les combattants ont comparée à l'enfer. À cette période, Romain Darchy n'est qu'un simple agent de liaison, un coureur, c'est-à-dire celui qui doit, quoiqu'il en coûte, faire parvenir les ordres des premières lignes vers l'arrière puis de l'arrière vers l'avant. Et cela quelque soit son état d'épuisement, l'intensité des bombardements ou la proximité de l'ennemi. »
J'ai particulièrement apprécié ce livre parce qu'il relate, en quatre parties, tous les déplacements de Romain Darchy de 1914-1918. Cet ensemble nous permet donc d'acquérir, progressivement, une vision générale sur le développement de ce conflit, la vie difficile des poilus dans les tranchées, les bombardements, la mort des camarades, les blessures, les assauts, Verdun, la cote 304,... (voir table des matières). de plus, la carte placée au début de chaque partie facilite grandement la compréhension des déplacements de la 408e et, plus particulièrement, pour une personne qui ne n'habite pas la France. Par contre, cet ouvrage ne traite aucunement des causes à l'origine de cette guerre, des stratégies utilisées, des forces qui s'opposent (français, anglais, américains, italiens et allemands) et des batailles décisives qui ont mis fin à ce conflit.
Première partie : En Picardie. Décembre 1914-février 1916
Deuxième partie : Verdun. Février-mars 1916 (quelques chapitre de cette partie)
Chapitre premier. Alerte
Chapitre II. Adieu Montdidier
Chapitre V. Premières visions de la bataille naissante
Chapitre X. L'enterrement d'un vivant (Romain Darchy)
Troisième partie : La cote 304. Juillet-août 1917
Quatrième partie : La bataille de Champagne et la captivité. Juillet-novembre 1918
