Je l'ai lu en moins de 24 heures entre le 22 et le 23 août. C'est un poil cocardier puisque ça se passe à la toute fin de l'Occupation, avec d'héroïques résistants et un méchant gestapiste, avec l'habituelle touche de subtilité et d'humain des officiers allemands fidèles à un certain sens de l'honneur. L'intrigue est également un brin tirée par les cheveux, et peut-être qu'en examinant ça de très près, on pourrait distinguer les pages de
Frédéric Dard de celles dues à
Robert Hossein, qui n'est peut-être pas un écrivain de la même trempe. Enfin, il faudrait vraiment avoir du temps à perdre. Parce qu'on a beau pinailler, ça reste un plaisir de lire
Frédéric Dard et de se laisser ficeler par ses intrigues et son efficacité de conteur.
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