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Critique de LectureChronique
Bonjour,
Nouvelle chronique rapide en retour de lecture : "Les deux oreilles et la queue" de San-Antonio (Frédéric DARD) aux éditions Fleuve Noir. Lu dans le cadre du challenge San-Antonio que je relève sur Babélio.
Cette fois-ci, San-Antonio obtient du Président en personne de créer sa propre unité de police pour voler au secours des américains et leur restituer une valise de la plus haute importance. Seront réunis Bérurier, Pinaud et Lurette, un flic qui a du potentiel. Ensemble, ils vont chasser la brute et le truand tout en défendant la veuve en se vouant à leurs seins.
Encore une bonne histoire à se mettre sous la dent, il faut passer par des ramifications complexes pour savourer cette fin magistrale où Béru signe là son meilleur rôle. Pour une fois, Pinuche est mis en avant au même titre que les autres de la troupe. J'aime toujours le langage fleuri, l'aventure incertaine dans laquelle s'envoie Antoine et qui part en sucette dès que l'occasion se présente.
De l'action, du suspense et des rebondissements à foison, la marque de fabrique à la Frédéric dard fonctionne toujours autant, avec toutefois quelques passages moins intéressant, car il faut bien combler parfois. Toujours aussi provocateur, drôle, inventif et surtout burlesque.
Bonne lecture, amis Lecteurs
Lien : https://lecture-chronique.bl..
Nouvelle chronique rapide en retour de lecture : "Les deux oreilles et la queue" de San-Antonio (Frédéric DARD) aux éditions Fleuve Noir. Lu dans le cadre du challenge San-Antonio que je relève sur Babélio.
Cette fois-ci, San-Antonio obtient du Président en personne de créer sa propre unité de police pour voler au secours des américains et leur restituer une valise de la plus haute importance. Seront réunis Bérurier, Pinaud et Lurette, un flic qui a du potentiel. Ensemble, ils vont chasser la brute et le truand tout en défendant la veuve en se vouant à leurs seins.
Encore une bonne histoire à se mettre sous la dent, il faut passer par des ramifications complexes pour savourer cette fin magistrale où Béru signe là son meilleur rôle. Pour une fois, Pinuche est mis en avant au même titre que les autres de la troupe. J'aime toujours le langage fleuri, l'aventure incertaine dans laquelle s'envoie Antoine et qui part en sucette dès que l'occasion se présente.
De l'action, du suspense et des rebondissements à foison, la marque de fabrique à la Frédéric dard fonctionne toujours autant, avec toutefois quelques passages moins intéressant, car il faut bien combler parfois. Toujours aussi provocateur, drôle, inventif et surtout burlesque.
Bonne lecture, amis Lecteurs
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