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Critique de Almaria
J'ai vraiment aimé ce livre, son ambiance et les différents sujets qu'il amène.
Je trouve que la romance entre Alteir l'alpha, fils du Vali et Tolal oméga et faisant parti du harem du Vali et à égalité avec la vie de l'harem, les manipulations politiques et Cie.
Je trouve que le thème du roman : l'amour entre un alpha, fils du Vali et Tolal un esclave sexuel est un point de lumière dans ce milieu.
Certain-e-s ont une idée romanesque du harem. Alors, que c'est un lieu où des gens hommes ou femmes et enfants/ados qui deviennent des esclaves sexuels ou ventres prêt à "engrosser" pour leur maitre et amis. Que vieillir ne peux que amener à la déchéance.
Commençant par le sérail/harem : un lieu où les esclaves sexuels sont là pour être mis à disposition pour des orgies ou le consentement bien sûr n'existe pas et où on subit des viols et autres. Pour survivre, il faut plaire ou faire un enfant au Vali, il faut manipuler pour survivre. Il faut sinon comme Tolal, accepter, se résigner, s'isoler des autres pour se protéger. Surtout que lui sait qu'on peut être en haut des prétendants et une fois, usé, vieux (à 28 ans …) descendre en bas de l'échelle.
Les abus sexuels et viols, la peur des nouveaux déchus aux orgies est terrible. Etre né oméga est signe d'une vie terrible. Si on fait un rapprochement, les omégas sont considéré comme des femmes, il faut faire ce parallèle pour comprendre. Donc imaginez des oméga femmes, la double peine.
Puis il y a la politique, où là aussi il faut slalomer entre trahison, manipulation. Personne ne veux perdre son pouvoir parmi la cour du chef (comme dans le harem finalement). le vali est un homme cruel, dur, n'ayant aucune empathie pour personne, ces enfants compris.
Et parmi ces guerre de pouvoirs, un amour improbable entre le fil du chef et un esclave.
J'ai trouvé cette histoire belle, tendre et réaliste. Tolal même si il tombe amoureux c'est que rien n'est acquis, que tout peux basculer et Altair comprends cela mais veux montrer à son compagnon qui doit y croire.
D'ailleurs le fils du Vali sacrifie sa moral, sa fierté dont l'optique d'arriver à son but.
J'aimerai parler de la soeur d'Altair, personnage si ambiguë. Elle montre bien qu'être femmes ou omégas dans ce monde n'est pas un destin envié. Ou alors il faut être domestique pour être un peu libre.
C'est en ça que le roman montre qu'il n'est pas qu'une romance. Pour moi en tout cas, il est plus que ça. Il est plus sombre, plus complexe.
J'ai aimé aussi les descriptions qui permettent de s'immerger dans l'histoire.
C'est une jolie surprise que ce livre !
Je trouve que la romance entre Alteir l'alpha, fils du Vali et Tolal oméga et faisant parti du harem du Vali et à égalité avec la vie de l'harem, les manipulations politiques et Cie.
Je trouve que le thème du roman : l'amour entre un alpha, fils du Vali et Tolal un esclave sexuel est un point de lumière dans ce milieu.
Certain-e-s ont une idée romanesque du harem. Alors, que c'est un lieu où des gens hommes ou femmes et enfants/ados qui deviennent des esclaves sexuels ou ventres prêt à "engrosser" pour leur maitre et amis. Que vieillir ne peux que amener à la déchéance.
Commençant par le sérail/harem : un lieu où les esclaves sexuels sont là pour être mis à disposition pour des orgies ou le consentement bien sûr n'existe pas et où on subit des viols et autres. Pour survivre, il faut plaire ou faire un enfant au Vali, il faut manipuler pour survivre. Il faut sinon comme Tolal, accepter, se résigner, s'isoler des autres pour se protéger. Surtout que lui sait qu'on peut être en haut des prétendants et une fois, usé, vieux (à 28 ans …) descendre en bas de l'échelle.
Les abus sexuels et viols, la peur des nouveaux déchus aux orgies est terrible. Etre né oméga est signe d'une vie terrible. Si on fait un rapprochement, les omégas sont considéré comme des femmes, il faut faire ce parallèle pour comprendre. Donc imaginez des oméga femmes, la double peine.
Puis il y a la politique, où là aussi il faut slalomer entre trahison, manipulation. Personne ne veux perdre son pouvoir parmi la cour du chef (comme dans le harem finalement). le vali est un homme cruel, dur, n'ayant aucune empathie pour personne, ces enfants compris.
Et parmi ces guerre de pouvoirs, un amour improbable entre le fil du chef et un esclave.
J'ai trouvé cette histoire belle, tendre et réaliste. Tolal même si il tombe amoureux c'est que rien n'est acquis, que tout peux basculer et Altair comprends cela mais veux montrer à son compagnon qui doit y croire.
D'ailleurs le fils du Vali sacrifie sa moral, sa fierté dont l'optique d'arriver à son but.
J'aimerai parler de la soeur d'Altair, personnage si ambiguë. Elle montre bien qu'être femmes ou omégas dans ce monde n'est pas un destin envié. Ou alors il faut être domestique pour être un peu libre.
C'est en ça que le roman montre qu'il n'est pas qu'une romance. Pour moi en tout cas, il est plus que ça. Il est plus sombre, plus complexe.
J'ai aimé aussi les descriptions qui permettent de s'immerger dans l'histoire.
C'est une jolie surprise que ce livre !
