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Critique de Pinklychee
J'ai lu ce livre un peu par hasard.
Ma fille regardait les livres figurant dans ma tablette et, allez savoir pourquoi, celui-ci lui a tapé dans l'oeil et elle m'a demandé de le lire.
Voulant lui faire plaisir, je me suis exécutée et je dois avouer que je ne le regrette pas, car j'ai passé un très bon moment.
Alors oui, ce livre est hautement prévisible, mais ça ne m'a pas dérangée, car en le commençant je savais exactement ce que je venais chercher et ce que j'allais trouver.
J'ai parfois eu du mal avec Posy, l'héroïne, qui a un peu (trop) tendance à se laisser porter par la vie. J'ai eu envie de la secouer pour qu'elle se prenne en main, mais au final Sebastian, le héros masculin, le fait bien mieux que moi!
Parlons-en, de Sebastian: j'avais vu quelques avis sur ce livre avant de m'y plonger, et ce que j'ai pu voir au sujet de notre héros m'avait un peu fait peur.
Alors oui, il est hautain, arrogant, imbuvable, il n'écoute que lui-même, mais au final je l'ai trouvé attachant, alors même qu'il n'a pas vraiment d'excuses et que son comportement vis-à-vis de Posy est tout bonnement odieux.
Posy tente tant bien que mal de lui opposer son avis sans qu'il l'écoute tandis qu'il prend un malin plaisir à la malmener.
Bref, ce couple était on peu plus mal parti et mal assorti (comme souvent dans ce type de romans) mais au final c'est ce qui m'a plu.
Posy prend "de la gueule" au fur et à mesure que l'on avance, elle s'affirme, clame haut et fort ses choix (même si Sebastian ne l'écoute pas) et j'ai apprécié de la voir évoluer.
Petit plus aussi avec le personnage de Sam, le petit frère de Posy, que j'ai beaucoup apprécié.
Et également, quel bonheur de lire une romance sans scène de sexe!
Le seul gros point noir, pour moi, c'est l'espèce de "fan fiction" qu'écrit Posy pour se défouler. A mes yeux, c'était un effet inutile.
Bref, vous l'aurez compris, j'ai passé un très bon moment avec ce roman.
C'était facile, frais, sans prise de tête, exactement ce que je venais chercher: une lecture parfaite de vacances, idéale pour se divertir.
Ma fille regardait les livres figurant dans ma tablette et, allez savoir pourquoi, celui-ci lui a tapé dans l'oeil et elle m'a demandé de le lire.
Voulant lui faire plaisir, je me suis exécutée et je dois avouer que je ne le regrette pas, car j'ai passé un très bon moment.
Alors oui, ce livre est hautement prévisible, mais ça ne m'a pas dérangée, car en le commençant je savais exactement ce que je venais chercher et ce que j'allais trouver.
J'ai parfois eu du mal avec Posy, l'héroïne, qui a un peu (trop) tendance à se laisser porter par la vie. J'ai eu envie de la secouer pour qu'elle se prenne en main, mais au final Sebastian, le héros masculin, le fait bien mieux que moi!
Parlons-en, de Sebastian: j'avais vu quelques avis sur ce livre avant de m'y plonger, et ce que j'ai pu voir au sujet de notre héros m'avait un peu fait peur.
Alors oui, il est hautain, arrogant, imbuvable, il n'écoute que lui-même, mais au final je l'ai trouvé attachant, alors même qu'il n'a pas vraiment d'excuses et que son comportement vis-à-vis de Posy est tout bonnement odieux.
Posy tente tant bien que mal de lui opposer son avis sans qu'il l'écoute tandis qu'il prend un malin plaisir à la malmener.
Bref, ce couple était on peu plus mal parti et mal assorti (comme souvent dans ce type de romans) mais au final c'est ce qui m'a plu.
Posy prend "de la gueule" au fur et à mesure que l'on avance, elle s'affirme, clame haut et fort ses choix (même si Sebastian ne l'écoute pas) et j'ai apprécié de la voir évoluer.
Petit plus aussi avec le personnage de Sam, le petit frère de Posy, que j'ai beaucoup apprécié.
Et également, quel bonheur de lire une romance sans scène de sexe!
Le seul gros point noir, pour moi, c'est l'espèce de "fan fiction" qu'écrit Posy pour se défouler. A mes yeux, c'était un effet inutile.
Bref, vous l'aurez compris, j'ai passé un très bon moment avec ce roman.
C'était facile, frais, sans prise de tête, exactement ce que je venais chercher: une lecture parfaite de vacances, idéale pour se divertir.
