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Critique de Jenndrix
Après lecture:
La sève femme enfante les monstres demain fracasseront les poings corrigeront le vivant bleu d'être au monde vagissant le nouveau né neuf ne devine pas la cruauté père en poussant l'arbre fleurira ou s'effeuillera mort du rouge comme sarment tatoué.
Une femme sait pourtant perpétue.
Faut-il croire en la bonté caché ou est ce la maladresse des mots bercés ventre qui pousse à multiplier les jambes?
La sève femme enfante les monstres demain fracasseront les poings corrigeront le vivant bleu d'être au monde vagissant le nouveau né neuf ne devine pas la cruauté père en poussant l'arbre fleurira ou s'effeuillera mort du rouge comme sarment tatoué.
Une femme sait pourtant perpétue.
Faut-il croire en la bonté caché ou est ce la maladresse des mots bercés ventre qui pousse à multiplier les jambes?
