Ce mot, du patois du Nord, qui aurait donné ensuite " rescapés" est l'occasion de présenter la vie difficile, sinon inhumaine de ceux qu'on appelait couramment "les gueules noires".
Ces escapés ne sont pas seulement des mineurs que la vie malmène, mais ils deviennent aussi, de 1914 à 1918 des soldats confrontés aux combats sans doute les plus meurtriers, dans cette région frontalière. Tout cela campé sur une belle histoire d'amour et l'amitié indéfectible de deux hommes qui auraient dû être ennemis.
Une écriture au service de deux grandes causes, rafraîchissante, malgré les thèmes traités.
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