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Critique de Davalian
Les Indispensables de la BD offrent l'occasion de mettre la main sur des albums à moindre coût et il est difficile d'y résister, surtout lorsqu'il s'agit d'une série pléthorique. L'opportunité se transforme en aubaine, lorsqu'on nous propose un album qui vaut le détour. Garfield mange plus vite que son ombre mérite qu'on l'achète à moindre ou à plein tarif.
Sans réelle surprise et malgré une première de couverture franchement sympa, il ne sera pas question de western ici. Autant mettre cette approche-là de côté, bien qu'elle aurait pu donner lieu à des développements intéressants. le casting est par ailleurs centré autour de Jon, Garfield, Odie et de Irma ainsi que de quelques figurants.
Nous avons affaire à un album de facture classique avec des gags en trois cases. La première partie est peut-être la moins immersive, bien qu'elle s'intéresse à des thèmes qui jusque-là faisaient l'objet de gags isolés : les tenues de Jon, la télévision, le café. Si certaines vignettes sont amusantes, elles ne sont pas transcendantes pour autant.
La page 20 tournée, les choses changent de manière radicale. Les chutes imprévues, les bons mots, le comique de situation bien tourné nous amènent à de véritables éclats de rire. Garfield s'adresse d'ailleurs à plusieurs reprises au lecteur, franchissant ainsi une nouvelle frontière. Plusieurs thèmes complémentaires (dont Noel et l'hiver) sont autant de prétextes à des situations cocasses.
Après un démarrage poussif, qui a le mérite de tenter la carte de l'originalité, l'album révèle son potentiel au fil des planches qui sont tournées avec un plaisir allant toujours croissant. Bien que nous restons dans une bande dessinée tous publics, certains gags pourront poser des problèmes de compréhension à des enfants, justifiant donc une lecture à plusieurs paires d'yeux.
Sans réelle surprise et malgré une première de couverture franchement sympa, il ne sera pas question de western ici. Autant mettre cette approche-là de côté, bien qu'elle aurait pu donner lieu à des développements intéressants. le casting est par ailleurs centré autour de Jon, Garfield, Odie et de Irma ainsi que de quelques figurants.
Nous avons affaire à un album de facture classique avec des gags en trois cases. La première partie est peut-être la moins immersive, bien qu'elle s'intéresse à des thèmes qui jusque-là faisaient l'objet de gags isolés : les tenues de Jon, la télévision, le café. Si certaines vignettes sont amusantes, elles ne sont pas transcendantes pour autant.
La page 20 tournée, les choses changent de manière radicale. Les chutes imprévues, les bons mots, le comique de situation bien tourné nous amènent à de véritables éclats de rire. Garfield s'adresse d'ailleurs à plusieurs reprises au lecteur, franchissant ainsi une nouvelle frontière. Plusieurs thèmes complémentaires (dont Noel et l'hiver) sont autant de prétextes à des situations cocasses.
Après un démarrage poussif, qui a le mérite de tenter la carte de l'originalité, l'album révèle son potentiel au fil des planches qui sont tournées avec un plaisir allant toujours croissant. Bien que nous restons dans une bande dessinée tous publics, certains gags pourront poser des problèmes de compréhension à des enfants, justifiant donc une lecture à plusieurs paires d'yeux.
