Il faut savoir que 'univers de
Jim Davis et surtout de
Garfield m'est familier. Je me souviens, lors de mes séjours en Angleterre dans la famille de ma mère avoir dévoré les premiers tomes dans la langue de
Shakespeare. Si avec mes enfants j'ai de nouveau retrouvé
Garfield à travers les dessins animés ( pas terribles ) et les films ( encore pire) j''étais tout heureux, de rouvrir, 20 ans après enfin une BD de mon chat de BD préféré.
Ce strip conçu uniquement pour distraire, basé sur la forte personnalité d'un
chat qui est gros, paresseux et cynique, revient dans ce cinquante-septième épisode au meilleur de sa forme. de l'humour typiquement anglais, pince sans rire et plein de sarcasme, comme j'en raffole.
Et avec ce tome numéro 57, je me suis aperçu avec délice que rien n'avait changé depuis les
Garfield de mon enfance, et cet immobilisme a parfois du bon. Ici, rien n'a changé : ni la personnalité de ce chat, toujours indétrônable dans la paresse, l'égoïsme et la gourmandise et l'inventivité, ni les aphorismes qu'il profère ,ni ses compagnons d'infortune, du pauvre chien Odie, souffre douleur de
Garfield en passant par Jon, son maitre pas bien courageux amoureux de Liz, une vétérinaire tout aussi cocasse.
Les vannes sont toujours bien trouvées, mélangeant humour noir et 'humour plus fin fin sont toujours présents. Et mes enfants à qui j'ai lu cette BD ont ri aux éclats au même endroit que moi et ont reconnu aussi que c'était plus drôle que la série animée. merci
Garfield de nous détendre autant et vivement le tome 58 qu'on découvre tout ensemble tes nouvelles facéties.
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