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Critique de Laparenthesedeceline
Alice Davril. Voilà un prénom. Un nom. Un visage que je n'oublierai jamais.
Alice Davril. Voilà une rencontre avec une femme qui restera ancrée en moi.
Une rencontre avec la lumière. Et oui, c'est ce que je me suis dit en la voyant pour la première fois. Elle rayonnait. Complètement à l'opposé de celle que j'imaginais avoir lue.
Car Alice Davril, j'ai eu ce privilège de la découvrir d'abord à travers son récit incroyable et poignant, au stade des mots tout juste jetés sur le papier. Comme une délivrance. Comme une nécessité. Une évidence.
Un beau matin du printemps 2022, j'ouvre ma boîte mail et je découvre le manuscrit qu'Alice aimerait me faire lire. Pour avis. Pour retour. Pour conseil. Nous ne nous connaissons pas encore. Elle ose. J'accepte. Je tarde un peu à lire par manque de temps.
Puis quand j'ouvre la première page, la seconde, la troisième… Je suis littéralement happée. Sidérée. Bouleversée. Comment une telle histoire est-elle possible ? Comment une telle vie peut-elle être menée de nos jours ? En France. Dans ma région. Finalement si près de moi et de ma vie heureuse. Comment une telle interprétation de la Bible est-elle possible ?
Immédiatement j'ai senti qu'il fallait oser. Qu'Alice devait faire émerger ce texte. « Moins de deux années plus tard chère Alice, je rédige cette chronique pour toi. Je suis fière de tes choix.«
Enfant, Alice croyait aux contes de fées, comme la plupart des petites filles. Elle a grandi puis s'est mariée avec Henry, rencontré aux Scouts. Or le conte a pris rapidement les couleurs sombres de la nuit, l'odeur âpre de l'enfermement, la saveur ferreuse de la peur et le bruit mat du silence. Épouse d'un homme pour qui seul Dieu compte, Alice a connu à plusieurs reprises la maternité. Ce sont ses enfants à qui elle faisait “l'école la maison” qui l'ont portée malgré eux, malgré leur vie étroite où aucune source de joie, de plaisir, de culture et encore moins d'émerveillement n'était possible. Seule l'obéissance à Dieu était la règle d'or.
Habitée par une force rare, animée d'une envie de vivre qui dépasse l'entendement, cette mère de famille se réveillera un jour et fera exploser cette existence passée à survivre. Pour sauver ses petits et elle-même.
Je ne dévoilerai rien de plus ici. Alice a su trouver avec ses propres mots, son coeur et son opiniâtreté, le moyen de témoigner avec brio. D'une écriture humble et affutée, elle ne raconte jamais à charge. Ce récit se veut lumineux, baigné d'espoir et amoureux de la vie quoi qu'il arrive.
Une ode aux rencontres qui font vaciller, qui bousculent, qui peuvent être salvatrices. Celles capables de rendre la vie éclatante de beauté.
Ces rencontres qui ont la douceur d'un sourire bienveillant, le regard admiratif.
“J'aspire pour toi, très chère Alice à une merveilleuse vie, touchée par la grâce. A ton image de femme combative. Tu le mérites tant.”
Lien : https://laparenthesedeceline..
Alice Davril. Voilà une rencontre avec une femme qui restera ancrée en moi.
Une rencontre avec la lumière. Et oui, c'est ce que je me suis dit en la voyant pour la première fois. Elle rayonnait. Complètement à l'opposé de celle que j'imaginais avoir lue.
Car Alice Davril, j'ai eu ce privilège de la découvrir d'abord à travers son récit incroyable et poignant, au stade des mots tout juste jetés sur le papier. Comme une délivrance. Comme une nécessité. Une évidence.
Un beau matin du printemps 2022, j'ouvre ma boîte mail et je découvre le manuscrit qu'Alice aimerait me faire lire. Pour avis. Pour retour. Pour conseil. Nous ne nous connaissons pas encore. Elle ose. J'accepte. Je tarde un peu à lire par manque de temps.
Puis quand j'ouvre la première page, la seconde, la troisième… Je suis littéralement happée. Sidérée. Bouleversée. Comment une telle histoire est-elle possible ? Comment une telle vie peut-elle être menée de nos jours ? En France. Dans ma région. Finalement si près de moi et de ma vie heureuse. Comment une telle interprétation de la Bible est-elle possible ?
Immédiatement j'ai senti qu'il fallait oser. Qu'Alice devait faire émerger ce texte. « Moins de deux années plus tard chère Alice, je rédige cette chronique pour toi. Je suis fière de tes choix.«
Enfant, Alice croyait aux contes de fées, comme la plupart des petites filles. Elle a grandi puis s'est mariée avec Henry, rencontré aux Scouts. Or le conte a pris rapidement les couleurs sombres de la nuit, l'odeur âpre de l'enfermement, la saveur ferreuse de la peur et le bruit mat du silence. Épouse d'un homme pour qui seul Dieu compte, Alice a connu à plusieurs reprises la maternité. Ce sont ses enfants à qui elle faisait “l'école la maison” qui l'ont portée malgré eux, malgré leur vie étroite où aucune source de joie, de plaisir, de culture et encore moins d'émerveillement n'était possible. Seule l'obéissance à Dieu était la règle d'or.
Habitée par une force rare, animée d'une envie de vivre qui dépasse l'entendement, cette mère de famille se réveillera un jour et fera exploser cette existence passée à survivre. Pour sauver ses petits et elle-même.
Je ne dévoilerai rien de plus ici. Alice a su trouver avec ses propres mots, son coeur et son opiniâtreté, le moyen de témoigner avec brio. D'une écriture humble et affutée, elle ne raconte jamais à charge. Ce récit se veut lumineux, baigné d'espoir et amoureux de la vie quoi qu'il arrive.
Une ode aux rencontres qui font vaciller, qui bousculent, qui peuvent être salvatrices. Celles capables de rendre la vie éclatante de beauté.
Ces rencontres qui ont la douceur d'un sourire bienveillant, le regard admiratif.
“J'aspire pour toi, très chère Alice à une merveilleuse vie, touchée par la grâce. A ton image de femme combative. Tu le mérites tant.”
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