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Critique de SabInstant
Léon, a 9 ans. Carol, sa maman vient de donner naissance à son second enfant Jake. Déjà faible psychologiquement, Carol s'enfonce dans une dépression dont elle peine à sortir et quand elle n'arrive plus à se lever le matin, Léon s'occupe de son demi-frère Jake jusqu'au jour où l'assistante sociale emmène les deux garçons chez Maureen. Mais quand on lui enlève son petit frère et qu'on lui dit que chez ses nouveaux parents il n'y a pas de place pour un grand garçon à la peau sombre, son monde s'écroule.. Jusqu'à ce qu'il décide de passer à l'action après avoir entendu une conversation qui ne lui était pas destinée.
Parviendra-t-il à retrouver son petit frère et à réunir sa famille ?
Je m'appelle Léon est un roman émouvant qui aborde deux problématiques touchantes : les liens familiaux et la couleur de la peau.
Ce roman révèle des instants de joie et d'apprentissage de la vie. Je me suis bien attaché à Léon, ce petit garçon adorable qui ne demande qu'à réunir sa famille. Bien sûr, il se fâche parfois, il vole quelques sous, quelques objets, mais jamais il ne cherche à faire mal.
Maureen, c'est la figure maternelle par excellence. Cette femme qui accueille des enfants est à la fois douce, mais ferme en même temps. Elle sait prendre soin des enfants et ça fait du bien ! Léon représente beaucoup pour elle, et l'attachement entre les deux se veut alors très touchant.
J'ai beaucoup apprécié Sylvia également, qui est certes un peu plus bourru mais qui apporte également beaucoup à notre petit Léon.
Cependant, le principal défaut majeur de ce roman se situe dans les longueurs qui sont parfois inutiles, ennuyantes. Certaines scènes persistent et même si elles ont l'avantage de nous situer dans le contexte historique, elles vont nous faire souffler.
Pour terminer, je dirais que le livre est assez court et très facile à lire. Et il est agréable de lire à travers la perspective d'un enfant si touchant !
Parviendra-t-il à retrouver son petit frère et à réunir sa famille ?
Je m'appelle Léon est un roman émouvant qui aborde deux problématiques touchantes : les liens familiaux et la couleur de la peau.
Ce roman révèle des instants de joie et d'apprentissage de la vie. Je me suis bien attaché à Léon, ce petit garçon adorable qui ne demande qu'à réunir sa famille. Bien sûr, il se fâche parfois, il vole quelques sous, quelques objets, mais jamais il ne cherche à faire mal.
Maureen, c'est la figure maternelle par excellence. Cette femme qui accueille des enfants est à la fois douce, mais ferme en même temps. Elle sait prendre soin des enfants et ça fait du bien ! Léon représente beaucoup pour elle, et l'attachement entre les deux se veut alors très touchant.
J'ai beaucoup apprécié Sylvia également, qui est certes un peu plus bourru mais qui apporte également beaucoup à notre petit Léon.
Cependant, le principal défaut majeur de ce roman se situe dans les longueurs qui sont parfois inutiles, ennuyantes. Certaines scènes persistent et même si elles ont l'avantage de nous situer dans le contexte historique, elles vont nous faire souffler.
Pour terminer, je dirais que le livre est assez court et très facile à lire. Et il est agréable de lire à travers la perspective d'un enfant si touchant !
