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Critique de veroherion
Il pleut, il pleut Bergère, rentre tes blanc moutons...
Eh bien non, en estive, on ne rentre pas ses blancs moutons. Il vente, il neige, il orage, il tempête. On est au taquet dans la montagne.
On a peur de l'ours et du loup mais on fait avec quand même.
Bergère, ce sont des petits bouts de vie en estive dans les Pyrénées que Florence Debove nous raconte avec sensibilité et humilité. Son amour de la nature, des grands espaces et des bêtes. Ses peurs et ses doutes, les mauvaises expériences et les bonnes. Mais chaque jour est un autre jour, avec son chien, avec le troupeau qui suit ses propres chemins, que notre bergère connaît et anticipe pour les mener là où elle veut.
Elle raconte, elle explique, elle dessine, elle s'invente un jeu (j'adore particulièrement ce passage) et finalement, au fil des mots, on la suit nous aussi, comme son troupeau.
J'ai adoré, adoré adoré !
Eh bien non, en estive, on ne rentre pas ses blancs moutons. Il vente, il neige, il orage, il tempête. On est au taquet dans la montagne.
On a peur de l'ours et du loup mais on fait avec quand même.
Bergère, ce sont des petits bouts de vie en estive dans les Pyrénées que Florence Debove nous raconte avec sensibilité et humilité. Son amour de la nature, des grands espaces et des bêtes. Ses peurs et ses doutes, les mauvaises expériences et les bonnes. Mais chaque jour est un autre jour, avec son chien, avec le troupeau qui suit ses propres chemins, que notre bergère connaît et anticipe pour les mener là où elle veut.
Elle raconte, elle explique, elle dessine, elle s'invente un jeu (j'adore particulièrement ce passage) et finalement, au fil des mots, on la suit nous aussi, comme son troupeau.
J'ai adoré, adoré adoré !
