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Critique de Bea_enviedelire
Un écrivain en quête d'inspiration atterrit dans une pension située sur une île au sud du Japon. de là, il observe et est bien vite intrigué par une femme, toujours présente sur la plage. Il découvre qu'elle est la mère du petit Yukio, un enfant bien différent des autres dès sa naissance, devenu poisson…
Avec ce roman, j'ai eu envie de continuer à voyager malgré le confinement. C'est un autre ouvrage de Gamillard Jeunesse, dans la même collection que « Le plus grand peintre du monde ». Ils sont très agréables parce que petits, avec un papier de belle qualité et de douces illustrations.
Ici, Karine Daisay, entre collages, effets de papiers, aquarelle nous ravit totalement et nous invite à l'apaisement. Sans avoir lu une ligne, on ressent l'invitation à la contemplation.
C'est d'ailleurs le sens de ce récit. Il n'y a pas vraiment d'action. Comme la mère de Yukio, nous écoutons, attendons et entrons dans une forme de détente. Ce ne fût pas un grand coup de coeur pour les garçons qui ont été gênés par l'absence d'action.
Avec ce roman, j'ai eu envie de continuer à voyager malgré le confinement. C'est un autre ouvrage de Gamillard Jeunesse, dans la même collection que « Le plus grand peintre du monde ». Ils sont très agréables parce que petits, avec un papier de belle qualité et de douces illustrations.
Ici, Karine Daisay, entre collages, effets de papiers, aquarelle nous ravit totalement et nous invite à l'apaisement. Sans avoir lu une ligne, on ressent l'invitation à la contemplation.
C'est d'ailleurs le sens de ce récit. Il n'y a pas vraiment d'action. Comme la mère de Yukio, nous écoutons, attendons et entrons dans une forme de détente. Ce ne fût pas un grand coup de coeur pour les garçons qui ont été gênés par l'absence d'action.
