Un roman entre Les Évangiles et Psychose, annonce
Amélie Nothomb sur le bandeau qui entoure ce livre.
Belle accroche laudadive qui met la barre haute !.
Pari tenu cependant par ce jeune auteur
Vincent Delareux qui signe là un roman à l'ambiance étouffée et glauque. Des le début, on est immergé dans le quotidien de ce Victor Sommer, un jeune homme, pas si jeune que cela d'ailleurs, qui vit encore chez sa mère. le quotidien étriqué de ces deux introvertis, c'est peu de le dire, se résume aux gestes du quotidien : pas de relations sociales, peu de chaleur. On pressent le petit déclic qui va faire basculer Victor lorsque celui-ci essaie de s'ouvrir au monde extérieur. Si le dénouement n'est pas inattendu, peu importe, car le cas de Victor Sommer est avant tout un roman de genre, de tension psychologique, de non-dits étouffés et certainement traumatiques. Belle réussite ! Auteur à suivre.
Merci à la Masse Critique de Babelio et aux éditions L'Archipel pour m' avoir fait découvrir ce jeune auteur.
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