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Critique de Ianilecteur
Ayant apprécié le premier tome, je ne demandais qu'à découvrir la suite. Et je n'ai pas été déçu. le roman est toujours aussi bien étayé par une documentation particulièrement fournie et un travail de recherche de niveau universitaire. Féru d'anthropologie et d'ethnologie, je me suis régalé.
Si le Tome 1 nous plongeait dans les années 1670 en France, le Tome 2 apparaît tout aussi exotique à nos yeux d'aujourd'hui. Les cabanes en rondins, la chasse, les échanges avec les tribus indiennes, les premiers pionniers…. À travers cette histoire des jeunes filles, c'est toute la Nouvelle France qui se bâtit sous nos yeux. Nous découvrons une société bien plus organisée qu'il n'y paraît où chacun veut se construire un avenir meilleur.
Nos jeunes filles courageuses et travailleuses cherchent un mari, mais pas à n'importe quel prix. Les deux auteures réussissent à nouveau le tour de force de nous raconter une histoire, sans rien nous cacher des difficultés de ces migrants, tout en nous faisant partager leur indéfectible confiance en l'avenir.
Au-delà du roman, c'est un bel hommage aux premiers défricheurs et bâtisseurs canadiens francophones. Merci à Lorraine LAPOINTE et à Béatrix DELARUE.
Si le Tome 1 nous plongeait dans les années 1670 en France, le Tome 2 apparaît tout aussi exotique à nos yeux d'aujourd'hui. Les cabanes en rondins, la chasse, les échanges avec les tribus indiennes, les premiers pionniers…. À travers cette histoire des jeunes filles, c'est toute la Nouvelle France qui se bâtit sous nos yeux. Nous découvrons une société bien plus organisée qu'il n'y paraît où chacun veut se construire un avenir meilleur.
Nos jeunes filles courageuses et travailleuses cherchent un mari, mais pas à n'importe quel prix. Les deux auteures réussissent à nouveau le tour de force de nous raconter une histoire, sans rien nous cacher des difficultés de ces migrants, tout en nous faisant partager leur indéfectible confiance en l'avenir.
Au-delà du roman, c'est un bel hommage aux premiers défricheurs et bâtisseurs canadiens francophones. Merci à Lorraine LAPOINTE et à Béatrix DELARUE.
