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Critique de LAzarii
Très belle découverte. Déjà, à peine fini, j'ai lutté pour acheter l'ebook du tome 2. Je pense que ça veut tout dire...
Le plus important à se rappeler, et qui est d'ailleurs montré dès le début avec beaucoup d'intelligence, c'est la soif de Sérène pour tout ce qui lui est interdit. Et aussi sa rage, sa révolte. Elle quitte l'adolescence pour devenir peu à peu une femme et, monde apo ou pas, ça veut dire aussi pas mal d'immaturité. Toutes ses émotions sont brutes, véridiques, ressenties à 1000%. Et c'est pour ça qu'on l'aime et la déteste.
Rares sont les héros sans concession qui valent vraiment le coup. Je considère que Sérène mérite sa place dans la liste.
La découverte de l'univers se fait en lenteur, étape par étape, fournissant les informations au compte-goutte pour qu'on évite de se noyer dedans. Au final, on découvre l'univers en même temps que Sérène découvre tout ce qu'on lui a caché depuis le début. L'histoire est un long fleuve qui vous happe et ne vous laisse partir qu'une fois arrivé dans l'océan du mot fin.
Pour en revenir à Sérène, l'immaturité et la naïveté de l'héroïne sont une arme improbable de l'auteure qui en profite pour asséner des coups puissants à cet univers, et aux parallèles qu'on peut faire avec notre réalité. J'ai vraiment été emporté par l'acidité et le cynisme qui se cachent au milieu de petites remarques innocentes de Sérène. Elle découvre le monde et sa complexité, après tout, et elle reste une enfant en train de grandir.
Beaucoup de questions restent sans réponse, et le monde est très manichéen, mais nous sommes dans un monde en pleine reconstruction, encore en train de tenir sur les réserves d'un monde qui s'effrite. Alors, le manque de psychologie, on va dire que ça se comprend hein. Quand t'as le choix entre vivre et mourir, tu fais pas de trop grands discours philosophiques. A moins d'être moi.
Bref, un roman génial et que j'ai dévoré tellement vite que j'étais en manque et que j'avais besoin de lire le tome 2.
FONCEZ !
Le plus important à se rappeler, et qui est d'ailleurs montré dès le début avec beaucoup d'intelligence, c'est la soif de Sérène pour tout ce qui lui est interdit. Et aussi sa rage, sa révolte. Elle quitte l'adolescence pour devenir peu à peu une femme et, monde apo ou pas, ça veut dire aussi pas mal d'immaturité. Toutes ses émotions sont brutes, véridiques, ressenties à 1000%. Et c'est pour ça qu'on l'aime et la déteste.
Rares sont les héros sans concession qui valent vraiment le coup. Je considère que Sérène mérite sa place dans la liste.
La découverte de l'univers se fait en lenteur, étape par étape, fournissant les informations au compte-goutte pour qu'on évite de se noyer dedans. Au final, on découvre l'univers en même temps que Sérène découvre tout ce qu'on lui a caché depuis le début. L'histoire est un long fleuve qui vous happe et ne vous laisse partir qu'une fois arrivé dans l'océan du mot fin.
Pour en revenir à Sérène, l'immaturité et la naïveté de l'héroïne sont une arme improbable de l'auteure qui en profite pour asséner des coups puissants à cet univers, et aux parallèles qu'on peut faire avec notre réalité. J'ai vraiment été emporté par l'acidité et le cynisme qui se cachent au milieu de petites remarques innocentes de Sérène. Elle découvre le monde et sa complexité, après tout, et elle reste une enfant en train de grandir.
Beaucoup de questions restent sans réponse, et le monde est très manichéen, mais nous sommes dans un monde en pleine reconstruction, encore en train de tenir sur les réserves d'un monde qui s'effrite. Alors, le manque de psychologie, on va dire que ça se comprend hein. Quand t'as le choix entre vivre et mourir, tu fais pas de trop grands discours philosophiques. A moins d'être moi.
Bref, un roman génial et que j'ai dévoré tellement vite que j'étais en manque et que j'avais besoin de lire le tome 2.
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