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Critique de clauclau28
Et oui ! déjà mon quatrième Denker. L'enthousiasme est un peu parti aux oubliettes dans les débuts de "Hôpital de la montagne". Et puis, au fur et à mesure qu'avançait ma lecture, l'intérêt à le lire"enfla" de plus en plus jusqu'à devenir un gros coup de coeur. Plus on lit et plus il y a de rebondissements. Autant dire que durant les cent dernières pages, j'étais "scotchée"...!
Un beau portrait de femme forte que l'on a grand plaisir à suivre. Il s'agit de Kate Kincaid, une jeune femme qui apprend le métier de sage-femme et d'infirmière. Il faut avoir suivi quinze accouchements de suite pour devenir enfin sage-femme reconnue dans le métier.
Le coté "roman d'amour" fait encore plus ressortir la force de cette femme. Mais, pour moi, ce n'est qu'un prétexte. Certes, elle est un peu tiraillée entre deux hommes, mais cela arrive surtout à la toute fin du roman. D'autres personnages sont mis en exergue, mais encore une fois, ce n'est qu'un prétexte pour mettre Kate en valeur ainsi que ce dur métier d'infirmière.
Comme tous les autres romans de Henry Denker, "Hôpital de la montagne"raconte une belle histoire, médicale, cette fois, dans tous ses détails presque techniques, mais aussi une histoire de "rapports" entre les personnages. Denker sait construire des romans où sa sensibilité est à fleur de peau. Comme à chaque fois : je pleure puis je ris à la lecture de ses livres.
Je ne sais comment montrer la construction formidable de ce roman qui sert surtout à mettre en lumière le personnage de Kate Kincaid, héroïne adulée, reconnaissante, puis finalement reconnue à son tour. Elle se donne entièrement à son métier et se bat jusqu'au bout de ses forces, presque jusqu'à sa propre mort.
Un beau portrait de femme forte que l'on a grand plaisir à suivre. Il s'agit de Kate Kincaid, une jeune femme qui apprend le métier de sage-femme et d'infirmière. Il faut avoir suivi quinze accouchements de suite pour devenir enfin sage-femme reconnue dans le métier.
Le coté "roman d'amour" fait encore plus ressortir la force de cette femme. Mais, pour moi, ce n'est qu'un prétexte. Certes, elle est un peu tiraillée entre deux hommes, mais cela arrive surtout à la toute fin du roman. D'autres personnages sont mis en exergue, mais encore une fois, ce n'est qu'un prétexte pour mettre Kate en valeur ainsi que ce dur métier d'infirmière.
Comme tous les autres romans de Henry Denker, "Hôpital de la montagne"raconte une belle histoire, médicale, cette fois, dans tous ses détails presque techniques, mais aussi une histoire de "rapports" entre les personnages. Denker sait construire des romans où sa sensibilité est à fleur de peau. Comme à chaque fois : je pleure puis je ris à la lecture de ses livres.
Je ne sais comment montrer la construction formidable de ce roman qui sert surtout à mettre en lumière le personnage de Kate Kincaid, héroïne adulée, reconnaissante, puis finalement reconnue à son tour. Elle se donne entièrement à son métier et se bat jusqu'au bout de ses forces, presque jusqu'à sa propre mort.
