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Critique de Tbilissi
Cette aventure de Yakari, le petit indien parlant aux animaux, m'a quelque peu laissée sur ma faim : ici pas d'aventure à rebondissements, de ruse ni de poésie. Même l'intervention de grand aigle, l'animal totem de Yakari qui le guide et lui inculque des principes quasiment philosophiques, est ici réduite à peau de chagrin et manque de grandeur.
L'intrigue se résume à la malveillance du corbeau Mic-mac (qui tentera de se racheter dans l'album "le mangeur d'étoiles") qui veut faire de l'indien Élan-lent son jouet.
Quelques moments plaisants, des corbeaux rivalisant d'éloquence, mais globalement une déception, la première concernant les albums de Yakari que j'affectionne tant.
L'intrigue se résume à la malveillance du corbeau Mic-mac (qui tentera de se racheter dans l'album "le mangeur d'étoiles") qui veut faire de l'indien Élan-lent son jouet.
Quelques moments plaisants, des corbeaux rivalisant d'éloquence, mais globalement une déception, la première concernant les albums de Yakari que j'affectionne tant.
